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Burkina Faso / Sécurité routière : le gouvernement annonce un réaménagement du dispositif de contrôles routiers dès le 15 septembre
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Sécurité routière : enfin l'alcootest pour contrôler la conduite au Burkina Faso
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Ce mardi 9 septembre 2025, le ministre de la Sécurité, le Commissaire divisionnaire de Police, Mahamadou Sana, a annoncé dans un communiqué de profonds changements dans la gestion des contrôles routiers à partir du 15 septembre 2025.

Prévue pour s'étendre du 10 août au 6 septembre 2025, cette campagne cible, dans un premier temps, les villes de Ouagadougou, Bobo-Dioulasso et Koudougou. Elle vise à réduire de manière significative le nombre d'accidents de la circulation et de victimes dans les grands centres urbains.

Selon les mots du ministre, cette mesure tient compte de l'imprévisibilité dans la stratégie de la menace et vise à assurer la liberté de circulation tout en garantissant la sécurité sur les voies publiques.

 

Ces changements dans la gestion des postes de contrôle intègrent à la fois la dimension d'imprévisibilité dans la stratégie de gestion de la menace et les principes de libre circulation des personnes et de leurs biens. Ils visent à l'amélioration des pratiques en matière de contrôle routier. Leur création, selon le communiqué signé par le ministre Mahamadou Sana, sera encadrée par une circulaire ministérielle publiée périodiquement. Seuls les postes mentionnés dans ce document officiel seront autorisés pour la période définie.

 

« Nous mettons en place un dispositif dynamique et réglementé pour mieux gérer la menace tout en respectant les droits des usagers », a déclaré le ministre de la Sécurité.

 

« Tout poste installé en dehors des dispositions prévues sera illégal. Les agents responsables s'exposeront à des sanctions disciplinaires, conformément aux textes en vigueur », a-t-il prévenu.

 

Mahamadou Sana a toutefois assuré que « des postes ponctuels de contrôle pourraient être érigés sur instruction pour apporter une réponse à une menace imminente ».

Bessy François SENI

Le ministère de la Sécurité a annoncé l'introduction de l'alcootest dans les contrôles routiers au Burkina Faso. L'information a été publiée par le ministère sur sa page Facebook. Cette décision s'inscrit dans le cadre de la lutte contre l'insécurité routière, à travers une opération conjointe entre l'Office national de la sécurité routière (ONASER) et la Police nationale.

Prévue pour s'étendre du 10 août au 6 septembre 2025, cette campagne cible, dans un premier temps, les villes de Ouagadougou, Bobo-Dioulasso et Koudougou. Elle vise à réduire de manière significative le nombre d'accidents de la circulation et de victimes dans les grands centres urbains.

Dans la nuit du 28 au 29 août 2025, des équipes mobilisées à Ouagadougou ont intensifié les contrôles sur plusieurs artères de la capitale. Les interventions ont porté sur le respect de la réglementation, notamment les points suivants :

  • Le contrôle de l'éclairage.

  • Le taux d'alcoolémie.

  • L'usage du téléphone au volant.

  • La vitesse.

  • Les heures de circulation de certaines catégories d'engins à trois et quatre roues.

  • Tout autre comportement à risque d'accident.

  • La sensibilisation au port du casque.

Dans le cadre de cette opération, le commissaire central de police de la ville de Ouagadougou (CCPO), le commissaire principal de police Hamado TASSEMBEDO, a précisé que « des mesures sont prises contre les individus pris en flagrant délit. Des procès-verbaux sont dressés à leur encontre et transmis au procureur du Faso pour la suite de l'enquête. »

Les usagers, quant à eux, ont bien accueilli l'opération. Plusieurs d'entre eux ont salué l'initiative, au regard du contexte sécuritaire actuel que traverse le pays. Ils ont particulièrement apprécié l'introduction de l'alcootest dans le dispositif de contrôle routier et ont invité leurs compatriotes à adopter des comportements plus responsables afin de promouvoir une meilleure sécurité routière.

À travers cette opération, le ministère de la Sécurité réaffirme son engagement à protéger les vies humaines. Il appelle les populations à faire preuve de plus de vigilance, de civisme et de responsabilité sur les routes afin de limiter considérablement les accidents et les décès, et de faire reculer durablement l'insécurité routière au Burkina Faso.

Bessy François SENI

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Nouvelle Audi Q5

La nouvelle Audi Q5 combine à la perfection l'état d'esprit d'une Audi : style, polyvalence, dynamisme avec une grande fonctionnalité au quotidien. Son nouveau design tranché fascine au premier coup d'œil, et son efficience impressionne à chaque voyage grâce à la transmission intégrale quattro.

Un design aiguisé qui vous fait vibrer

Le style de la nouvelle Audi Q5 fascine par un charisme imposant jusque dans les moindres détails. Sa face avant sculptée, comprenant de hautes entrées d'air et une calandre octogonale large et plate à l’aspect nervuré, témoigne d’un design aiguisé. Les sorties d'échappement trapézoïdales de style, le diffuseur avec lames transversales et la bande chromée située sous les feux sur toute la largeur du véhicule, complètent harmonieusement son design athlétique.


De nouvelles signatures lumineuses fuselées

Les nouveaux feux arrière OLED subliment le look de l’Audi Q5, cette nouvelle technologie de répartition des feux en petits segments contrôlables individuellement ouvre la voie à de nouveaux scénarios d'éclairage, grâce à une mise en scène impressionnante. Trois différents modèles de signature de feux arrière sont disponibles à la personnalisation lors de l’achat du véhicule. Selon le mode de conduite, le caractère de la signature des feux arrière est également automatiquement ajusté pendant l'utilisation. Les feux arrière numériques OLED assurent la détection de proximité⁽¹⁾ : lorsque le véhicule est à l'arrêt et qu'un autre véhicule ou d'autres usagers de la route s'approchent à moins de deux mètres de l’arrière, tous les segments OLED sont automatiquement activés, et élargissent la zone visible.

Une dynamique de conduite envoûtante

La nouvelle Audi Q5 enthousiasme par son accélération spontanée et dynamique ainsi que par sa maniabilité. Elle est équipée d’une série de transmission quattro intégralement variable (selon la motorisation). De cette manière, les forces motrices peuvent être réparties sur les différentes roues selon les besoins afin d’assurer une traction et une stabilité directionnelle exceptionnelles. La suspension pneumatique à commande électronique avec un système d'amortissement adaptatif continu sur les quatre roues, contrôle automatiquement le niveau et l'amortissement du véhicule. De plus, Audi drive select permet également de régler les caractéristiques souhaitées du véhicule pour chacun des différents modes disponibles et offrir une expérience de conduite optimale dans toutes les situations.

Un espace ajustable

Une conception de l’habitacle assez spacieux pour cinq personnes, comprenant un espace confortable pour la tête et les jambes. La position assise surélevée assure une bonne vue d'ensemble de la circulation. Les traits du véhicule orientés horizontalement soulignent l'impression de largeur et de confort. Une garniture tridimensionnelle court sur toute la largeur du tableau de bord, complétant avec élégance cette impression visuelle travaillée. L'équipement des sièges s'étend jusqu'à la fonction massage (en option). Dans l'obscurité, l'éclairage d'ambiance disponible de série ou en option, produit une atmosphère apaisante (de série dans le pack Audi Design Selection).

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Un système de navigation avancé

Connectée avec le monde : une évidence dans l'Audi Q5. Avec les points d'intérêts en ligne, vous pouvez, par exemple, faire afficher les stations-service ou les parkings situés à proximité, directement dans la navigation, y compris les heures d'ouverture, la disponibilité et les prix. Les informations en ligne sur le Trafic plus2 peuvent vous aider à trouver l'itinéraire le plus rapide vers votre destination, grâce à des données en temps réel très détaillées sur les conditions de circulation, les embouteillages ainsi que les perturbations. Et avec le système de navigation myAudi, vous pouvez planifier la recherche de votre destination et le guidage routier directement sur votre smartphone. Lors du démarrage du véhicule, les données sont transférées de manière transparente et automatique au système de navigation du véhicule, et y sont déplacées. En sortant du véhicule, le smartphone reprend automatiquement le guidage routier et guide les dernières étapes jusqu'à la destination.


SES

 

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Solidarité nationale : Optique St Mathias fait parler son cœur
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Le Burkina Faso traverse une de ses plus graves crises humanitaires  dû au terrorisme. Des milliers de déplacés internes sont repartis à travers le pays d’où l’appel à la solidarité lancé par le gouvernement. Le samedi 20 décembre dernier l’entreprise Optique St Mathias guidée par son Directeur Général Leonel Ilboudo, est passée pour soulager un tant soit peu les difficultés des déplacés.

Dans la matinée du samedi 20 décembre dernier la cour du Conseil National de Secours d’Urgence et de Réhabilitation (CONASUR) a été le théâtre du don de l’entreprise Optique St Mathias qui a voulu participé à l’élan de solidarité lancé par le gouvernement en faveur des déplacés internes .Pour son Directeur Leonel Ilboudo ce don entre dans  «le cadre de la manifestation de leur solidarité en tant que entreprise citoyenne à l’élan de solidarité parce que l’Etat ne peut pas seul faire face à cette situation qui touche des milliers de burkinabè ». Pour ajouter, il affirme que « le don aussi pourra permettre aux déplacés de fêter et de profiter un peu de la ferveur née de ces périodes de fêtes », il a également souhaité que les autres entreprises emboitent ses pas pour montrer aux déplacés que leurs frères et sœurs sont de cœur avec eux dans cette situation difficile qu’ils traversent. Pour le représentant du Directeur General du CONASUR Issaka Pamtam, il s’est réjoui de ce don qui permettra aux déplacés de participer aux fêtes malgré la situation difficile qu’ils traversent. Il a aussi salué ce geste qui « soulagera à coup sûr les cœurs meurtris » et invité les autres entreprises à en faire autant pour permettre aux déplacés internes, victimes des barbaries des terroristes de profiter des fêtes de fin d’année.

 

En plus, il a saisi cette occasion pour dire merci aux Burkinabè dans l’ensemble pour l’élan de solidarité manifesté à l’endroit des déplacés durant cette année 2020 qui s’est avérée très difficile car la maladie à COVID 19 n’a pas empêché leur bonne volonté.

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Photo de famille après le don au CONASUR

La valeur du don s’élève à 450 milles et est composé :

  • 2 sacs de 100 kg de maïs

  • 5 cartons de pâtes alimentaires

  • 1 bidon de 20 litres d’huile

  • 3 sacs de 50 kg de riz

  • 1 sac de 50 kg de sucre

  • 40 savons

La banque de sang n’a pas été oubliée

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M. Leonel Ilboudo sacrifiant au don de sang.

Après l’étape du CONASUR le cap a été mis sur le Centre National de Transfusion Sanguine (CNTS) pour faire don du précieux liquide rouge qui sauve des vies. Pour le Directeur Leonel Ilboudo de Optique St Mathias il n’y a rien de plus noble que « de donner son sang pour sauver des vies et le besoin en sang a toujours été criard dans notre pays ». Son entreprise se veut donc de répondre pour sa part à cet appel noble et invite chacun des burkinabè à emboiter leurs pas.

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M. Auguste Ouédraogo représentant du CNTS.

Pour le représentant de la Directrice du CNTS Auguste Ouédraogo, il s’est réjoui de ce don qu’il a qualifié de « salvateur parce que nos maternités et les services de pédiatries sont tous les jours confrontés à des besoins de sang ». Ce geste soulage parce que cela permet d’avoir du sang consommable pour les malades et sauver des vies. Il a insisté sur le fait que le manque de sang fait beaucoup de victimes parce que rien que dans la ville de Ouagadougou le besoin de sang dans les structures publiques comme privées s’élèvent à environ 200 poches quotidiennement mais malgré les différentes collectes ils n’arrivent pas à avoir la moitié. Il a donc invité les populations à fréquenter leurs structures pour leur aider à sauver des vies.

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Photo de famille après le don de sang.

En rappel l’Optique St Mathias est une entreprise qui évolue dans le domaine des verres correcteurs du conseil ainsi que le suivi des ports de verres et est présente à Ouagadougou, Bobo-Dioulasso, Tenkodogo et Dédougou.


Kiéma

 

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Sécurité routière : l’ONASER dote la ville de Ouagadougou de 150 panneaux de signalisation et de deux feux tricolores
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Le ministre du Transport, de la Mobilité urbaine et de la Sécurité routière, Vincent Dabilgou, a procédé le mardi 11 août 2020 à l’inauguration de feux tricolores à deux carrefours et à la remise de 150 panneaux de signalisation à la commune de Ouagadougou. La cérémonie a eu lieu au carrefour Novis à Ouaga 2000. C’est un lot de 150 panneaux de signalisation qui a été remis par le ministre des Transports au 1er adjoint au maire de la capitale. A cela s’ajoutent l’inauguration de deux feux tricolores dans les quartiers Ouaga 2000 et Somgandé.

«Nous avons suffisamment parlé aux usagers dans notre pays. Plusieurs associations ont même été créées à cet effet et des fonds suffisants ont été mis à leur disposition dans ce sens. C’est pourquoi nous avons décidé de jouer sur deux tableaux, à savoir notre capacité à aménager l’environnement physique et aussi de parler aux usagers à travers des panneaux de signalisation et des carrefours lumineux», a expliqué le ministre Dabilgou aux journalistes présents. C’est par le biais de l’Office national de la sécurité routière (ONSER) que ce projet s’est matérialisé. Selon son directeur général, Adama Kouraogo, ce projet est né après un diagnostic pour identifier un certain nombre de carrefours accidentogènes dans les villes de Ouagadougou et de Bobo-Dioulasso. « C’est pour cela que nous avons voulu donner un appui aux responsables de la ville de Ouagadougou en leur permettant d’équiper quelques carrefours de signalisation routière parce que c’est important. La route doit nous parler et quand c’est le cas les citoyens peuvent accepter et d’obéir.

 

Nous avons également décidé d’offrir 150 panneaux de signalisation surtout la verticale parce qu’elle est importante,» nous a-t-il confié. Pour Moussa Bélèm, premier adjoint au maire de Ouagadougou, ce don amoindrir le nombre d’accidents de la circulation à Ouagadougou cela fait partie des priorités du maire de la capitale. «Avec le ministère en charge de la Mobilité urbaine, nous sommes en tandem pour faire en sorte que tout ce qui se passe dans la ville de Ouagadougou en matière d’accidents et de mauvaise conduite cessent», a déclaré Moussa Bélèm. L’Office national de la sécurité routière est un établissement public placé sous la tutelle du ministère des Transports et qui a pour objets la sécurité routière, la contribution à l’amélioration des conditions d’exploitation des infrastructures routières et à la fluidité du trafic routier.


Bessy François Séni

 

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Confinement : Un taximan raconte sa galère
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Ouagadougou, capitale du Pays des hommes intègres ne serait pas ce qu’elle est aujourd’hui sans ces hommes au volant des véhicules peints en vert. Eux, ce sont les chauffeurs de taxi.

Chaque jour, ils arpentent les rues de la capitale pour satisfaire ces nombreux usagers de la route avec les risques que leur métier les expose. Notre reporter est allé à la rencontre de l’un d’eux pour écouter son vécu pendant les moments durs de la covid19. Lisez plutôt ! Il est 7h30 lorsque nous arrivons à l’arrêt de taxi du marché de Katr-Yaar de la capitale. C’est un homme jovial qui nous accueille. Il semble être très affairé par une cliente déjà en retard pour un rendez-vous. L’un après l’autre, il fait installer ses bagages dans le coffre de la voiture. A la question de savoir comment va son boulot, il répond : «Maintenant les choses commencent à aller bien». Marcel Congo puisque c’est de lui qu’il s’agit avoue avoir vécu une galère terrible durant le confinement. «La conduite de taxi est ma seule source de revenus», affirme-t-il. Il était quasiment impossible pour lui de nourrir sa petite famille. «Heureusement que mon épouse tient un petit commerce de fruits et légumes. C’est ce qui nous a aidé», explique-t-il. Selon ce taximan, l’affluence des clients a totalement diminué. Avec la timide reprise, il espère combler les pertes. «Nous pensons que les choses vont rentrer dans l’ordre. C’est la vie.», dit-il avant d’ajouter «On n’y peut rien».


La pandémie du coronavirus a eu des répercussions graves sur de nombreux secteurs d’activités autres que celui des transports urbains. Chacun de nous est invité à respecter les mesures barrière pour limiter la propagation de cette maladie qui n’a que trop duré.


Bessy François Séni

 

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« Le Palais des jantes la solution idéale pour tous vos besoins en accessoires automobiles » Abdoul Fatav Savadogo
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Le parc automobile de la ville de Ouagadougou n'a pas cessé d'augmenter ces dernières décennies. Cela a conduit de nombreux burkinabè à s'intéresser à la vente des véhicules et de ses accessoires. Sont de ceux-là Abdoul Fatav Savadogo, directeur général de "Le Palais des jantes" une entreprise spécialisée dans la vente et le montage des jantes et des pneus. L'équipe de Faso Auto-Moto a fait une visite de terrain pour mieux comprendre ce métier.

A l'entrée de la boutique principale du Palais des jantes, c'est un impressionnant décor qui accueille le client. On y trouve des jantes et des pneus de toutes les marques de véhicules ainsi que de divers accessoires automobiles. Cela fait plus de vingt ans que le promoteur de l'entreprise exerce dans le domaine. Le Palais des jantes a fait de la vente des jantes son activité principale. On y trouve également d'autres accessoires de véhicules comme les pneus, les housses de première main et des compresseurs.

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L'entreprise accompagne ses clients avec un service après-vente (S.A.V.) de qualité avec des garanties de longues durées. "Nous avons d'abord appris à connaitre le métier de montage de jantes avant d'en faire notre occupation", a déclaré le directeur général Abdoul Fatav Savadogo avant d'ajouter "lorsqu'un client achète l'un de nos produits, nous faisons le montage gratuit dans nôtre atelier de montage".

Le Palais des jantes est situé au quartier Larlé de Ouagadougou. "Notre boutique principale est située à l'arrière du domicile du Larlé Naaba, et une annexe non loin de la gare de Rakieta. Notre atelier de montage des jantes et des pneus est situé non loin de la boutique principale" a expliqué le premier responsable de l'entreprise. "

Nos contacts WhatsApp sont les suivants 78 09 75 75 ou le 70 54 53 53.

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Ambulances de marque Mitsubishi réceptionnées par le ministère de la Santé
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185 ambulances de marque Mitsubishi ont été réceptionnées par le ministère de la Santé au profit des communes du Burkina, ce mardi 23 juin 2020. Il s’agit de la concrétisation en partie d’une promesse de 300 ambulances au profit des communes du Burkina Faso, faite par le président du Faso. Ce matériel roulant va améliorer positivement la vie des populations des communes bénéficiaires. La cérémonie qui s’est déroulée à Ouagadougou a été présidée par le Premier ministre, Christoph Joseph Marie Dabiré, qui a invité les bénéficiaires à en faire bon usage.

Le président du Faso avait promis dans son programme présidentiel, la dotation des communes du Burkina Faso, de 300 ambulances.  Cette promesse a été tenue en partie ce mardi 23 juin 2020, avec la réception par le ministère de la Santé de 185 ambulances sur les 300, au profit des communes. Selon la ministre en charge de la santé, Claudine Lougué, ce sont 181 ambulances de type A et 4 ambulances de type SAMU qui ont été réceptionnées. De ses explications, les ambulances de type A sont des ambulances légères conçues et équipées pour le transport sanitaire de patients dont l’état de santé ne laisse pas présager une situation de détresse présente ou future. Elles sont équipées de places assises pour l’agent de santé et les accompagnants de malades a-t-elle indiqué. Celles réceptionnées, sont de marque Mitsubishi et type Pajero a-t-elle ajouté. Quant aux ambulances de type SAMU, Claudine Lougué affirme qu’elles sont des ambulances de secours et de soins d’urgence de type B et C pratiquement identiques, conçues et équipées pour le transport, les premiers soins, les soins intensifs et la surveillance des patients durant tout le transfert. De ses dires, toutes les ambulances de types A, B, et C disposent d’équipements complets et adaptés à une bonne assistance aux patients. Pour ce qui est des 115 ambulances restantes, elle rassure qu’elles seront réceptionnées à la fin du mois de juillet.

Rappelons que ce sont 185 ambulances qui vont être réparties entre 302 communes rurales, 49 communes urbaines dont 2 à statut particulier à savoir Ouagadougou et Bobo Dioulasso qui comprennent chacune plusieurs districts. Au regard donc de cette réalité, il fallait opérer des choix fondés sur des critères de transparence a souligné la ministre. Elle cite ces critères qui sont : les communes qui ne disposent pas encore d’ambulance ; les communes qui ont des ambulances défectueuses ; celles ayant une population élevées ; celles éloignées des centres de référence. La ministre ne doute pas du fait que les ambulances vont améliorer positivement la vie des populations des communes bénéficiaires et à terme de tous les Burkinabè à travers la prise en charge plus diligente et efficace de diverses pathologies. 

Il est vrai qu’au regard des chiffres ci-dessus annoncés, toutes les communes ne seront pas dotées de ces ambulances. Claudine Lougué en a conscience et c’est d’ailleurs la raison pour laquelle elle a rappelé qu’elles viennent en complément des efforts que l’Etat et ses partenaires techniques et financiers consentent au quotidien pour améliorer l’offre de soin au Burkina Faso.

Pour ce qui est de la répartition, la patronne de la santé précise que les types A au nombre de 262 à termes sont destinées aux CSPS, aux CM, au CMA ; les types SAMU au nombre de 38 iront aux CHR, CHU, et au SAMU.

C’est le Premier ministre, Christophe Joseph Marie Dabiré qui a de façon symbolique remis les clés des ambulances à la ministre de la Santé, qui à son tour les a remis aux gouverneurs des régions. Après avoir rappelé que la réception de ce matériel roulant est la concrétisation d’une promesse présidentielle, il a invité les bénéficiaires à en prendre soin. La représentante des gouverneurs, le gouverneur de la région du Centre-Sud, Josiane Kabré Zoungrana a salué la promesse tenue par la chef de l’Etat, et a rassuré le chef du gouvernement du fait que son message n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd.

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Arnaques douanières : Alassane Guira crie son ras-le-bol
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Le Burkina Faso et le Togo sont deux pays frontaliers, qui depuis des années entretiennent des relations commerciales des plus stables de la sous-région. Un peu partout au Burkina Faso, l’on rencontre des Togolais qui vivent en harmonie avec les Burkinabè. C’est de même au Togo où une forte communauté burkinabè y est installée. Nombre d’entre eux mènent des activités économiques. Sur cette terre d’accueil, ils sont regroupés au sein de l’Union des ressortissants du Burkina Faso au Togo la fraternité (URBFTF). Alassane Guira est le président de cette union. Transporteur de profession, il est également le président du syndicat qui regroupe les transporteurs burkinabè qui mènent leurs activités à partir du Port autonome de Lomé. Nous l’avons rencontré à Lomé où il est revenu sur  les difficultés que rencontrent les transporteurs dans l’exécution de leurs activités, les arnaques dont ils sont victimes à la frontière.

Faso Auto-Moto : comment se fait votre intégration avec les togolais ?

Alassane Guira : Franchement le Togo est une terre d’accueil. Nous sommes bien intégrés au sein de la société togolaise, pour ne pas dire que nous nous sentons à l’aise comme si on était chez nous. C’est un pays d’hospitalité ; et il faut dire que les Burkinabè vivant au Togo sont chez eux.

 

Vous voulez dire que sur le plan social, tout est rose avec les togolais, ils n’y a aucune difficulté ?

Les difficultés n’en manquent pas. C’est comme dans tous les pays du monde. Vous savez, quand deux, trois ou plusieurs personnes sont réunies quelque part, les divergences ne manquent jamais. Cependant, c’est la capacité des uns et des autres à les surmonter qui fait que l’on arrive à vivre ensemble, à vivre dans la paix. Au Togo, Burkinabè et Togolais sont comme des frères malgré les divergences que nous rencontrons parfois.

 

Vous faites partie des transporteurs qui mènent leurs activités à partir du port autonome de Lomé. Vous rencontrez surement des difficultés ?

On ne va pas se mentir, il y a des difficultés que nous rencontrons au port autonome de Lomé. Nous rencontrons des problèmes de stationnement. Il n’y a de place de stationnement. Vous verrez que les camions sont alignés jusqu’à Sarakawa ou même à la direction générale de Ecobank. Ce problème pouvait trouver une solution si le parking d’Akodésséwa et aussi celui qui se trouve derrière le Conseil Burkinabè des chargeurs étaient bien aménagés. Quand il pleut les camions ne peuvent pas rentrer. Même la voix est impraticable. Un camion n’est pas comme une voiture ou une charrette. A la moindre erreur, quand ça balance, ta marchandise se retrouve au sol. Souvent tu arrives avec ta marchandise, tu es obligé de patienter parce que le magasin n’est pas prêt pour t’accueillir. Nous invitons les autorités togolaises à nous aider dans ce sens.

Pour ce qui est des véhicules communément appelés « venus de France », le coût du transit nous tue. Comparativement aux autres pays, il y a de ces frais qui doivent être payés par d’autres, mais nous avons constaté qu’au Togo, ce sont les opérateurs économiques qui les payent. Cela représente une grande charge pour nous. Si on pouvait nous en décharger cela allait vraiment beaucoup nous aider. Quand tu vas prendre par exemple le transitaire ou le déclarant en douane, il te dit qu’un véhicule 4X4, le coût de son transit fait 360 mille francs CFA pour le Burkina, le Mali, le Niger. Quand c’est une voiture qui n’est pas utilitaire, cela fait 300 mille francs CFA. Quand c’est une camionnette ou un camion, 500 mille francs CFA. La remorque et la carrosserie te font 1million de francs CFA. Quand on fait une comparaison avec le Benin, le même camion, son transit fait 650 mille francs CFA. L’opérateur économique se rend compte qu’au Benin, il est plus avantagé que le Togo. Nous souhaitons également que le gouvernement revoit aussi le coût du transit. Et même le système de sortie au grand port de Lomé, est un problème. Il faut aller attendre à Toglécopé, à Zongo. Si on pouvait supprimer cette histoire de Zongo pour libérer les gens dès qu’ils sortent du port, avec la plaque, afin qu’ils rentrent directement au Burkina Faso ça allait bien. Le stationnement à Zongo, on ne voit pas son utilité. Vous stationnez là-bas, les petits voleurs viennent enlever les pièces sur les véhicules, qu’ils reviennent vous revendre après.

 

Avez-vous tenté de porter le problème au niveau des autorités compétentes ?

Nous avons approché les autorités compétentes à qui nous avons exposé nos difficultés. Cette démarche a suscité l’organisation d‘un atelier de trois jours auxquels ont pris part les différents acteurs. Nous avons discuté de tout. Un rapport a été rédigé et transmis à qui de droit. Jusqu’aujourd’hui, nous n’avons pas eu de retour. Nous gardons cependant espoir que nous aurons un retour positif.  

 

Votre mot de fin ?

J’aurais aimé que l’on aborde des questions concernant l’intégration sous régionale. Nous sommes des opérateurs économiques. A la frontière, nous rencontrons des difficultés. La corruption sur les frontières est une réalité. C’est une grande perte, pas pour nous seulement, mais pour l’Etat aussi.

 

Pouvez-vous être plus explicite ?

Quand on parle de l’intégration sous régionale, la libre circulation des personnes et des biens, ce n’est que sur du  papier. C’est une très belle idée. Malheureusement la réalité est tout autre. Moi j’ai honte de rentrer au Burkina Faso, de présenter ma carte  nationale d’identité burkinabè, j’ai tous mes papiers en règle, qu’on me fasse tourner et me dire que c’est pour un contrôle qui en réalité n’est pas le cas. Si on doit compter sur ceux qui sont à la frontière pour sécuriser notre pays, cela veut dire qu’on est très vulnérable. Si quelque chose devait nous arriver au Burkina, ça allait arriver. C’est l’argent qui les intéresse, pas la sécurité du pays. On ne prend pas soin de vraiment vérifier les identités. Si tu as l’argent, on te remet ton papier. Si je suis un terroriste facilement avec de l’argent, je peux traverser la frontière sans être inquiété. Ce qui se passe, c’est qu’on prend ta carte, qu’on te remet après t’avoir appelé. Ce n’est pas un contrôle. Je préfère qu’on fouille minutieusement chaque véhicule, chaque passager, quelques soit le temps que cela va prendre car ça y va de la sécurité du pays. C’est mieux que de rassembler les cartes, aller dans une guérite, inviter les gens à passer les prendre et les obliger à donner chacun 500 francs CFA. On va où avec ça. Lors des rencontre de la CEDEAO, de l’UEMOA, on le dit, on fait de beaux discours, on est content, on applaudi et par la suite, il n’y a pas de suite. Les décisions prises, sont rangées dans de tiroirs. Il faut que ça change pour nous même notre bien.

Que Dieu nous protège, qu’il protège notre pays le Burkina Faso, notre pays d’accueil le Togo et qu’il protège toute l’Afrique.

Merci !

Thierry AGBODJAN

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Transport interurbain : Un timide démarrage dans les gares de Ouagadougou
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Suspendues le 23 mars 2020 dans le cadre de la lutte contre la propagation du Covid-19, les activités de transport ont repris ce 5 mai 2020 sur toute l’étendue du territoire national. En ce premier jour de retour sur les routes, les cars de transport en commun dans la capitale démarrent difficilement.

Depuis ce 5 mai 2020, le vrombissement des cars de transport interurbains redonne un peu de vie aux différentes gares, restées bien mornes depuis plus d’un mois. Mais partout, le constat est le même. L’on est bien loin de la période d’avant suspension où ces lieux grouillaient de monde.

 

A la gare de la compagnie STAF à Larlé, le redémarrage est effectif mais ce n’est pas l’affluence des grands jours. « Notre premier jour n’est pas facile parce qu’il n’y a pas de clients. Les gens n’étaient même pas sûrs qu’on allait reprendre aujourd’hui. Pour les départs de 5h par exemple, c’est seulement les passagers qui ont dormi ici qui ont bougé. Il n’y avait même pas 30 personnes dans les cars de 64 places. On va attendre quelques jours pour espérer une pleine reprise », constate Iliassa Ouédraogo, responsable de la gare qui guette l’engouement dans les jours à venir.

Le même constat est fait à la gare SBTA de Gounghin. Karim Ouédraogo, premier responsable des lieux, note que les clients ont peut-être été surpris par la reprise. « Il y en a qui doutent encore. Certains viennent s’informer avant d’aller s’apprêter pour revenir », précise-t-il.

 

Cheick Ouédraogo qui travaille au guichet d’enregistrement des tickets à STAF n’en dit pas plus. Pour lui, l’information sur la reprise des activités de transport n’est pas vraiment passée. « Il y a bien de gens qui ne savent pas encore que la reprise a lieu aujourd’hui. Dans 2 ou 3 jours, quand la nouvelle de la reprise se répandra, il y aura certainement plus d’affluence », croit savoir le jeune guichetier.

 

Il faut dire que même si l’annonce de la reprise des activités de transport a été faite le weekend par le Haut conseil des transporteurs du Burkina Faso, tous les acteurs étaient en attente d’une autre décision : celle de la suspension du décret mettant les villes ayant connu au moins un cas de Covid-19 en quarantaine. La nouvelle est tombée dans la soirée du 4 mai 2020, prenant ainsi de court plus d’un.

Le Faso.net

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Lutte contre le COVID-19 : Les chauffeurs routiers sensibilisés par le Haut conseil des transporteurs du Burkina Faso
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Le Haut conseil des transporteurs du Burkina Faso (HCT-BF) s’est engagé dans la lutte contre le Coronavirus, à travers une campagne de sensibilisation sur la maladie au profit des chauffeurs routiers. L’opération qui a débuté ce jeudi 9 avril 2020 sur l’étendue du territoire, va durer deux semaines. En plus de la sensibilisation, du gel hydro-alcoolique et des bavettes seront distribués aux chauffeurs routiers. Le 1er vice-président du Haut conseil des transporteurs du Burkina Faso, Amadouba Ouattara et son équipe ont invité ces derniers à observer les gestes barrières afin de se protéger et protéger leurs entourages.

Le 9 mars 2020, les premiers cas de COVID-19 ont été détectés au Burkina Faso. Depuis les premiers cas confirmés, le nombre de personnes contaminées ne cessent d’augmenter. Face à cette situation, les bonnes volontés ne se font pas prier pour apporter leur soutien dans la lutte contre la maladie. Parmi ces dernières, figure depuis le jeudi 9 avril 2020, le Haut conseil des transporteurs du Burkina Faso (HCT-BF) qui a lancé une campagne de sensibilisation et de distribution de matériel de protection contre la maladie qui va durer deux semaines sur l’ensemble du territoire. Le public cible de cette opération sont les chauffeurs routiers comme le confirme le 1er vice-président du Haut conseil des transporteurs du Burkina Faso, Amadouba Ouattara. Il estime qu’étant donné que ces derniers traversent les frontières pour approvisionner le pays, ils sont très exposés aux risques de contagion du fait de leur mobilité. Afin donc de leur permettre de voyager en toute sécurité, le HCT-BF a initié une campagne de sensibilisation des chauffeurs routiers contre le Coronavirus. Il a profité également de l’opération pour leur distribuer des gels hydro-alcooliques et des bavettes. L’opération a débuté à Ouaga Inter sous la supervision de Amadouba Ouattara qui va conduire son équipe au poste de péage à la sortie Est de Ouagadougou, où ils vont poursuivre la sensibilisation. Selon Amadouba Ouattara, ses collaborateurs et lui ont sensibilisé les chauffeurs routiers sur les modes de contamination de la maladie, les comportements à adopter pour se protéger et protéger leur entourage. Ils les ont invité à observer les gestes barrières, comme se laver les mains régulièrement, tousser dans le coude du bras, se désinfecter régulièrement les mains avec du gel hydro-alcoolique, etc.

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C’est une opération qui a été saluée par les chauffeurs routiers. Tous estiment que l’initiative de Haut conseil mérite d’être encouragée. Ils ont tous émis le souhait de voir la pandémie maîtrisée dans un bref délai. Le même sentiment est partagé par le coordonnateur national de l’Association d’assistance pour les maladies infectieuses, Abdoul Aziz Ouédraogo, qui juge très noble l’initiative. Comme le 1er vice-président du HCT-BF, il pense que les chauffeurs routiers qui sillonnent les pays et qui sont en contact avec beaucoup de personnes, sont exposés à la contagion. Ayant pris part à la campagne de sensibilisation, et conscient de l’enjeu, il a invité les chauffeurs routiers à observer les règles barrières afin de se protéger. Il estime que le respect des gestes de protection, va contribuer à venir à bout du virus qui ne cesse de faire de nouvelles victimes chaque jour qui passe. Au-delà des routiers, il a invité la population burkinabè à faire autant.

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Crise au sein du secteur des transports : Le Premier ministre entreprend les échanges de la dernière chance
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Le Premier ministre, Christophe Joseph Marie Dabiré a convié respectivement les organisations des transporteurs et l’Union des chauffeurs routiers du Burkina (UCRB) pour des échanges sur la crise qui plombe le secteur du transport ce samedi 18 janvier 2020. Les différents acteurs sont optimistes quant à un dénouement heureux de la crise dans les jours à venir. Ils ont pris l’engagement d’œuvrer à ce que plus jamais la population burkinabè ne subit les conséquences de la crise.

Il faut en finir avec la crise qui secoue depuis quelques temps déjà, le secteur du transport. C’est ce que recherche le Premier ministre Christophe Joseph Marie Dabiré en conviant respectivement, les organisations des transporteurs et l’Union des chauffeurs routiers du Burkina (UCRB) à des échanges ce samedi 18 janvier 2020. Il semble qu’il y a lieu d’être optimiste quant à la résolution définitive de cette crise. Les propos : « on s’est compris, l’engagement du gouvernement va en étroite vision avec l’ensemble des transporteurs. Nous allons travailler main dans la main pour résoudre cette crise à répétition. Nous avons pris l’engagement d’assurer nos responsabilités pour que plus jamais, la population burkinabè ne subit les conséquences de cette crise », du porte-parole des transporteurs Yssouf Maïga, le confirme. Il confie qu’à l’issue des échanges, il a été décidé de la poursuite du processus de la mise en place de la faitière. Selon donc ses explications, un délai de 30 jours a été fixé afin de finaliser le projet qui sera inclusif et représentatif. A la question de savoir si les Burkinabè pourront être rassurés de ne plus subir les conséquences de la crise, il répond : « on n’est pas dans le secret des Dieux ; cependant, les 19 organisations des transporteurs qui ont pris part à la rencontre, ont pris l’engagement d’œuvrer en ce qui les concerne, pour que plus jamais l’on ne vit au Burkina cette crise ».

A la suite des transporteurs, ce sont les chauffeurs routiers qui ont été reçus également en audience par le patron de l’exécutif. C’est un homme qui semble satisfait des décisions qui ont été prises au cours des échanges qui s’est adressé à la presse. Si on s’en tient à ses dires, ses camarades et lui ont été rassurés par le Premier ministre qui leur a fait comprendre que des démarches sont entreprises afin de trouver une solution à leurs revendications. « Nous avons foi au Premier ministre qui nous a rassuré et nous espérons que dans les jours à venir, une solution définitive sera trouvée » a indiqué le président de l’Union des chauffeurs routiers du Burkina (UCRB) Brahima Rabo ; avant d’ajouter que pour le moment tout est rentré dans l’ordre. Si on veut le croire, la hache de guerre est enterrée à l’issue de la rencontre.

Le gouvernement prendra ses responsabilités en cas d’échec

Il y a de quoi être optimiste. Les transporteurs le sont, les chauffeurs routiers le sont, le ministre des Transports, de la Mobilité urbaine et de la Sécurité routière, Vincent Dabilgou l’est aussi ; surtout quand il déclare : « cette rencontre va augurer une nouvelle vision ». Présent à la rencontre, il a fait la synthèse des échanges, avant de confier que le gouvernement va poursuivre la réforme ; pour faire en sorte qu’il y ait un texte consensuel sur la gestion du transport au Burkina Faso, en particulier sur la gestion du FRET. Il explique ses propos en affirmant : « Nous sommes dans une situation où, le nombre de camions dépasse le FRET que nous avons. Si nous n’arrivons pas à impliquer tout le monde, c’est-à-dire les chauffeurs aussi les transporteurs, et si ce n’est pas transparent et surtout si un groupe de transporteurs, de manière implicite agit de manière beaucoup plus forte sur la répartition du FRET, nous allons connaitre des problèmes ». Le ministre confie qu’avec l’ensemble des acteurs, il a été convenu de la mise en place d’une forme de gestion du FRET par un décret. Il rappelle que le gouvernement étant souverain, si les acteurs concernés par la mise en place de la faitière n’arrivent pas à s’entendre, le gouvernement va décider de la mise en place d’un dispositif de gestion du FRET. Le premier responsable en charge des transports au Burkina Faso est revenu sur les missions qui lui ont été assignées. Il parle de professionnaliser le secteur des transports, le redynamiser, et faire en sorte d’avoir un secteur compétitif et très productif. Pour y arriver, il estime qu’il est impératif d’entreprendre des réformes. C’est en cela que le Conseil burkinabè des chargeurs (CBC) a été doté d’un conseil d’administration ; ce qui permet à l’ensemble des acteurs d’en être membres a-t-il indiqué.

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Route Koudougou-Sakoinsé : Les travaux de réhabilitation ont démarré
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Les travaux de réhabilitation de la route nationale 14 (RN 14), Koudougou-Sakoinsé ont été lancés ce jeudi 16 janvier 2020 par le Premier ministre Christophe Marie Joseph Dabiré à Koudougou. La réhabilitation de ce tronçon confiée à l’entreprise SOROUBAT pour un coût de plus de sept milliards de francs CFA, va contribuer à renforcer le développement de la région.

Le calvaire des usagers de la route nationale 14 (RN 14), ne sera bientôt qu’un mauvais souvenir. En effet le tronçon Koudougou-Sakoinsé, long de 42 km, est sur le point d’être réhabilité. Les travaux de réhabilitation ont débuté ce jeudi 16 janvier avec le lancement effectué par le Premier ministre Christophe Marie Joseph Dabiré à Koudougou. D’un coût de plus de sept milliards de Francs CFA, les travaux ont été confiés à l’entreprise SOROUBAT pour une durée de 12 mois. Selon le ministre des Infrastructures, Eric Bougouma, les travaux consistent à reconstruire la couche de fondation et la couche de base, à les renforcer avec du concassé et enfin à déposer là-dessus un revêtement en béton bitumineux. Afin de respecter le délai d’exécution, il confie que les travaux débuteront simultanément à Koudougou et à Sakoinsé. Ces travaux selon ses dires, entrent dans le cadre du projet de réhabilitation et de construction des routes et voiries. Il explique que la réhabilitation vise entre autres à assurer une bonne structuration du réseau routier, un maintien du réseau dans un bon état. Egalement, le présent projet veut faciliter le désenclavement des régions et des localités traversées par la voie et assurer la desserte administrative des chefs-lieux de département a confié le « Buldozer » qui s’est réjoui du lancement des travaux. Il a profité de l’occasion pour annoncer que d’autres travaux seront lancés dans les jours à venir, et ils concerneront la réhabilitation de réseaux routiers ainsi que de la voirie urbaine.

Abondant dans le même sens que son ministre, le chef du gouvernement, Christophe Marie Joseph Dabiré affirme que la réhabilitation de ce tronçon va contribuer à renforcer le développement de la région. Il sera soutenu dans ses propos par le maire de la commune de Koudougou Maurice Zongo, qui déclare : « la réhabilitation de cette route procurera d’avantage de sécurité aux usagers et de fluidité à la circulation ». Les autorités burkinabè ne sont pas les seules heureuses du démarrage des travaux.  Les usagers le sont aussi et n’ont pas manqué d’exprimer leur gratitude envers ces dernières. Ils ont pris l’engagement de veiller à l’entretien de l’ouvrage qui sera livré dans 12 mois.

Pour sa part, le Premier ministre explique que le projet fait partie d’un échantillon d’un large programme que son gouvernement est en train de développer actuellement. L’objectif de ce programme selon son entendement, est de faire en sorte que le développement de la route puisse contribuer au renforcement des actions de développement du chef de l’Etat.

Rappelons que les travaux de réhabilitation du tronçon Koudougou-Sakoinsé sont financés par la Banque Ouest africaine de développement (BOAD) et le budget de l’Etat à travers le fond d’entretien routier.

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Education : Le parc automobile de l'université Joseph Ki Zerbo bénéficie de treize véhicules PICKUP
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Le ministre de l'enseignement supérieur de la recherche scientifique et de l'innovation Alkassoum Maiga a procédé ce jeudi 16 janvier 2020 à la remise de treize (13) véhicules PICKUP de marque Toyota au profit de l'université Joseph Ki Zerbo de Ouagadougou. Ce dont intervient à un moment où le temple du savoir souffre d'un manque de matériels pouvant faciliter la mobilité des enseignants et les chercheurs.

D'un coût total de 434 millions de Francs CFA ces véhicules seront mis à la disposition des différents centres universitaires qui travaillent déjà en étroite collaboration avec le président de l'université Rabiou Cissé.

 

Le premier responsable du département ministériel a exhorté les bénéficiaires à un bon usage de ce matériel roulant. Bien avant cette cérémonie de remise de clés de véhicules le ministre avait auparavant procédé à une remise de clés de trois (03) amphithéâtres entièrement rénovés au bénéfice des Unités de Formation et de Recherche (UFR) des Sciences de la vie et de la terre (SVT), des Sciences exactes appliquées (SEA), et Langues arts et communication (LAC).

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Grand banditisme : La police démantèle une bande de malfrats spécialisée dans le vol de moto
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Le Service régional de la police judiciaire du Centre (SRPJ/Centre) a convié les Hommes de médias à un point de presse le jeudi dernier (14 novembre 2019) à Ouagadougou. Deux réseaux de malfrats intervenant dans les domaines vols de motos et autres objets avec agression et du faux monnayage ont été présentés à la presse.

21 citoyens burkinabè peuvent remercier le Service régional de la police judiciaire du Centre (SRPJ/Centre), grâce à qui ils ont récupéré leurs motos volées. Ces engins leurs ont été remis ce jeudi 14 novembre 2019 à la suite du point de presse animé par le chef de Service régional de la police judiciaire du Centre, le commissaire de police, Saybou Galbane, qui a présenté le réseau de malfrats auteurs de ces vols. Il explique que ce groupe spécialisé dans les vols avec agression d’engins à deux roues avait pour quartier général un kiosque situé au quartier Tanghin de Ouagadougou. C’est donc à l’issue d’une enquête menée par le SRPJ/Centre, à travers sa quatrième équipe, que ce réseau composé de 10 membres a été démantelé. Après l’interpellation de deux des membres, les huit autres seront appréhendés à l’issue d’une longue traque. Les leaders du groupe après interrogation ont reconnu les faits à eux reprochés.

 

Comme mode opératoire, le commissaire confie que les malfrats se déplaçant par binômes à bord d’un vélomoteur, sillonnent nuitamment les rues de la ville à la recherche de cibles. Dès qu’ils aperçoivent une victime sur un engin, ils la prennent en filature, et arrivé à un endroit qu’ils jugent propice à opérer, ils la tiennent en respect et s’emparent de sa moto a-t-i indiqué. Il explique que d’autre part, les membres du groupe identifient des domiciles dans lesquels ils s’introduisent nuitamment pour opérer. Des dires du commissaire de police, le groupe a à son actif plusieurs cas de vols commis dans plusieurs quartiers de Ouagadougou.

 

Quand les membres ont été interpellés, les forces de sécurité ont saisi en plus des 21 motos ; 90 Sticks de cannabis ; 2 batteries de 220 Ah ; un ensemble de bracelet et de boucles d’oreilles en argent ; un poste téléviseur de marque Apsonic écran plasma ; un convertisseur ; 30 téléphones portables de diverses marques ; 3 baffles de boomer ; un appareil Boomer ; un décodeur Canal+ et un décodeur Strong. La bande mis désormais hors d’état de nuire, sera déférée devant procureur du Faso près le Tribunal de grande instance (TGI) de Ouagadougou, foi du chef de Service régional de la police judiciaire du Centre. Conscient que la police a besoin de la collaboration de la population pour réussir sa mission contre l’insécurité, il a rappelé les numéros verts que sont le 17 pour la Police nationale, le 16 pour la Gendarmerie nationale et le 1010 pour le CNVA.

 

Rappelons que ce sont deux bandes différentes qui ont été présentées à la presse. La seconde elle autre s’est spécialisée dans le faux monnayage.

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Sécurité routière : Vincent Dabilgou lance la campagne « La rentrée scolaire en toute sécurité »
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La campagne « La rentrée scolaire en toute sécurité » initiée par l’Office national de la sécurité routière (ONASER) a été lancée de façon officielle par le ministre des Transports, de la Mobilité urbaine et de la Sécurité routière, Vincent Dabilgou, ce mardi 12 novembre 2019 à Ouagadougou. Placée sous le thème : « Civisme et éducation routière », et coparrainée par les ministres de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation, Alkassoum Maïga, de l’Education nationale et de l’Alphabétisation et de la Promotion des langues nationales, Stanislas Ouaro, elle a pour objectif de sensibiliser le monde éducatif sur la sécurité routière.

La route au Burkina Faso tue. Les statistiques le confirment. En effet, selon les données de la gendarmerie, en 2018, 22 675 cas d’accidents de la circulation ont occasionné 14 482 blessés et 944 tués. Dans le premier semestre de l’année 2019, les statistiques de la Police Nationale, font état de 6 123 accidents avec 2 529 blessés et 89 tués. Face à cette situation, il est impératif de réagir afin de prévenir ces accidents. C’est ce que veut faire l’Office nationale de sécurité routière (ONASER) en initiant la campagne « La rentrée scolaire en toute sécurité ». L’opération a été lancée ce mardi 12 novembre 2019 par le ministre des Transports, de la Mobilité urbaine et de la Sécurité routière, Vincent Dabilgou. Placée sous le thème : « Civisme et éducation routière », elle vise à sensibiliser le monde éducatif sur la sécurité routière. Le directeur général de l’ONASER, Adama Kouraogo le confirme : « au cours de cette campagne, les acteurs de la sécurité routière engageront une série d’actions intensives de communication, de sensibilisation, d’informations et d’éducation à la sécurité routière et de contrôle sanction sur le terrain dans le but ultime d’asseoir une véritable culture de la sécurité routière ». Saluant l’initiative, le ministre Vincent Dabilgou pense que la sécurité routière est un problème de changement de comportement et de mentalité. C’est pour cela qu’il a invité les uns et les autres à s’impliquer dans cette campagne afin qu’elle soit un succès. Son message n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd car au cours de la cérémonie, les parents d’élèves à travers leur porte-parole, Alphonse Bazemo se sont engagés à faire connaitre le code de la route à leurs enfants. Les élèves quant à eux, ont souhaité que le gouvernement intègre la sécurité routière dans leur programme d’enseignement. Le premier adjoint au maire de la ville de Ouagadougou, Moussa Belem, a lui formulé le vœu selon lequel, la capitale des deux roues soit le témoin d’un nombre réduit d’accidents de la route.

 

Dans la dynamique de faire de la présente campagne une réussite, les autorités présentes, ont procédé à l’installation du club de sécurité routière du lycée Philippe Zinda. Le représentant des parents d’élèves a pour sa part, invité les membres du club de même que l’ensemble des élèves à prendre à bras le corps la problématique de sécurité routière, à s’impliquer dans les activités de l’ONASER et à être son relais auprès de leurs camarades.

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Lutte contre le terrorisme : Le Japon fait don de 96 véhicules de type pick-up 4×4, 244 motos au Burkina Faso
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L’ambassade du Japon a fait don au Burkina Faso ce lundi 11 novembre 2019, de véhicules, de motos et de lampes projecteurs portables. Ce matériel composé de  96 véhicules de type pick-up 4×4, de 244 motos et de 105 lampes projecteurs portables, a pour but de relever la capacité opérationnelle de la police nationale dans la lutte contre le terrorisme.

Le peuple japonais est solidaire au peuple burkinabè dans la lutte qu’il mène contre le terrorisme. Il a démontré ce soutien ce lundi 11 novembre 2019, à travers un don d’engins roulants et de lampes projecteurs portables que l’ambassade du Japon a fait au Burkina Faso. Le don est composé de 96 véhicules de type pick-up 4×4, de 244 motos et de 105 lampes projecteurs portables. C’est le représentant du peuple japonais au Burkina Faso, l’ambassadeur Tamotsu Ikezaki qui a procédé à la remise de cet important matériel évalué à plus de trois milliards de francs CFA. Il justifie ce geste par la volonté de son pays de soutenir le pays des Hommes intègres dans la lutte contre le terrorisme. Pour lui, c’est une satisfaction de voir que la promesse faite au Burkina Faso depuis 2017, soit concrétisées ce jour. Il estime qu’il, va contribuer à renforcer le système de sécurité du Burkina Faso. Son avis est partagé par le directeur général de la police nationale, Jean-Bosco Kienou qui affirme : « ces moyens roulants seraient d’un grand appui aux Forces de Défense et de Sécurité dans la crise sécuritaire actuelle ». Comme lui, le ministre de la sécurité, Ousséni Compaoré a salué le geste du pays du soleil levant et indique qu’il vient à point nommé. Il explique que cet appui logistique et de matériel important dont a bénéficié son département va contribuer à renforcer les capacités opérationnelles des éléments de la police nationale. Il pense qu’avec ces moyens réceptionnés, la police sera le plus proche possible de la population. « Les populations n’auront pas besoin de se déplacer vers la police, mais c’est la police qui ira vers elles » a-t-il soutenu. D’après lui, par la crise sécuritaire que connait le Burkina Faso, l’utilité et l’importance de ce don ne sont pas à démontrer. Pour sa part, il a invité ses hommes à en faire bon usage pour donner le résultat qu’attend le peuple dans cette lutte contre le mal.

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Bitumage de la route Fada N'Gourma à Bogandé : Le président a donné le top départ des travaux
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Roch Marc Christian Kaboré a procédé au lancement des travaux

 

Le mardi 5 novembre 2019, le Président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré qui était dans la région de l’Est, a procédé à Bogandé au lancement officiel des travaux de bitumage de la Route nationale n°18 reliant cette commune à Fada N'Gourma. Le bitumage de ce tronçon contribuera à faciliter les échanges entre les différentes localités reliées par cette route.

Le développement d’un pays passe aussi par la route. Les autorités burkinabè le savent, c’est pourquoi, elles mettent l’accent sur la construction des infrastructures routières. Des routes son bitumées ou réhabilitées au grand bonheur des populations et des usagers. C’est dans cet élan, que le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré a procédé ce mardi 5 novembre 2019, au lancement officiel des travaux de bitumage de la Route nationale n°18 reliant Fada N'Gourma à Bogandé. Il s’agit d’une route longue de 129 Km, dont la réalisation a été confiée à la société PFO AFRICA, pour une durée d'exécution de 22 mois assortie d’un montant global de près de 21 milliards de francs CFA. Selon le chef de l’Etat le bitumage de l'axe Fada-Bogandé était une attente forte au niveau de la population. C’est donc conscient de ce fait, qu’il s’est réjoui de la mise en place des moyens nécessaires pour la réalisation du projet.

Pour le ministre des Infrastructures, Eric Bougouma,  le tronçon Fada-Bogandé contribuera à faciliter les échanges entre les différentes localités reliées par cette route. «La réalisation des travaux vise essentiellement à soutenir la croissance économique du Burkina Faso par le désenclavement des zones potentielles de pôles de croissance dans le cadre du PNDES», a-t-il signifié. Il a rassuré la population que le lancement des travaux de bitumage de la voie Fada-Bogandé n'est qu'une première phase. La seconde phase selon lui, consistera à bitumer la voie de Mani jusqu'à la RN 3 route de Dori. Dans son propos, on retiendra que plusieurs  travaux de bitumage seront lancés dans la plupart des régions dont celle de la  ville de Garango le 12 novembre prochain. Par ailleurs, il a appelé l'entreprise en charge des travaux à livrer une route de qualité répondant aux attentes des populations et du gouvernement sous peine de sanction. Pour conclure, le président du Faso a quand à lui, invité les populations riveraines à faciliter le travail de l’entreprise PFO AFRICA.

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Le ministre Eric Bougouma à droite du président a invité PFO AFRICA à livrer

une infrastructure de qualité 

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Ouagadougou : La commune dotée de véhicules et logistiques
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Le maire de la commune de Ouagadougou, Armand Béouindé recevant une clef symbolique

Acquis dans le cadre du premier sous projet d’assainissement des quartiers périphériques de Ouagadougou, du projet développement durable de Ouagadougou et du contrat crédit-bail, des camions de collecte de transport des ordures, des véhicules poids légers ont été réceptionnés par le maire de la commune de Ouagadougou, Armand Pierre Béouindé ce mardi 29 octobre 2019. Ces engins réceptionnés par le premier responsable de la commune de Ouagadougou sont destinés aux services techniques de l’administration communale et aux mairies d’arrondissements.

Dans le cadre du premier Sous-projet d’assainissement des quartiers périphériques de Ouagadougou (SPAQPO), du Projet développement durable de Ouagadougou (PDDO) et du contrat Crédit-bail, la commune de Ouagadougou a réceptionné au cours d’une cérémonie organisée le mardi 29 octobre 2019, des engins de travaux publics, des camions de collectes et de transport d’ordures, des véhicules poids lourds et poids légers. Ces engins réceptionnés vont augmenter la capacité opérationnelle de la mairie a confié le maire de la commune de Ouagadougou, Armand Pierre Béouindé qui a procédé à leur réception. Selon ses explications, cette acquisition est rendue possible grâce à une convention du gouvernement burkinabè et la Banque africaine de développement (BAD), pour le premier sous- projet SPAQPO, d’un montant de 28 milliards de FCFA. Parallèlement au financement de la BAD, le gouvernement du Burkina Faso a obtenu de l’Agence française de développement (AFD), un concours financier d’un montant global de 40 millions d’euros soit plus de 26 milliards de FCFA pour le financement du projet de développement durable de Ouagadougou dans sa phase une. Les engins acquis dans ce cadre sont composés de deux lots. Le premier lot est d’une valeur de 971 907 000fcfa TTC et est livré par l’entreprise Burkina équipements. Le second lot quant à lui est d’une valeur de 1 173 274 000fcfa TTC et est livré par l’entreprise DIACFA. Outre des acquisitions financées par ces deux institutions, le maire souligne la réception de véhicules acquis sur ressources propres de la municipalité. A l’écouter, l’ensemble de ces acquisitions participent à l’atteinte des objectifs des sous-programmes mobilité urbaine et gouvernance locale du programme du conseil municipal pour un meilleur vivre-ensemble. A entendre Armand Béouindé, ce matériel sera directement affecté aux bénéficiaires afin qu’ils soient très efficaces sur le terrain.

 

Il assure aussi que la maintenance de ce matériel ne reviendra pas à la mairie mais au constructeur par le truchement du concessionnaire qui est présent au Burkina Faso. «Nous payons tous les ans un loyer pour que cette maintenance soit suivie. Au niveau du matériel de travaux publics, c’est la même chose que nous avons entrepris avec les différents concessionnaires qui les ont livrés. Il y a un contrat de suivi technique qui va faire en sorte qu’ils prennent en charge tout le service technique ce qui va nous permettre de nous concentrer dans notre métier premier qui est d’apporter des services aux populations», a laissé entendre le maire. 

 

Les sept communes rurales qui entourent la ville de Ouagadougou vont aussi bénéficier de ces engins pour assainir leurs voiries dans le cadre du projet Grand Ouaga.

 

Rappelons qu’au total, ce sont 77 véhicules qui ont été livrés à la commune de Ouaga. On a en effet sept véhicules poids lourds dont : une Nacelle RENAULT TRUCKS D13HIGH P 4X2190 E3 ; quatre camionnettes RENAULT TRUCKS D13HIGH ; un camion porteur RENAULT TRUCKS D 16 HIGH P 4X222 E3 ; un camion porteur RENAULT TRUCKS K380 P6X4 MEDIUM E13 (citerne à carburant). Les 70 restants sont des véhicules poids légers dont : 37 Pick-up MITUBISHI L 200. 12 Pick-up RENAULT DUSTER OROCK ; quatre camionnette fourgons HYUNDAI HI 2.5 VAN ; six Berlines RENAULT SANDERO ; neuf SUV RENAULT DUSTER 1.6 ; un NISSAN PATROL BREAK SDT ; un mini bus HYUNDAI COUNTY D4DC.

Ce sont là les caractéristiques des véhicules acquis par la commune de Ouagadougou.

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Ces véhicules et moyens logistiques sont destinés aux services techniques de l’administration communale et aux mairies d’arrondissementsCes véhicules et moyens logistiques sont destinés aux services techniques de l’administration communale et aux mairies d’arrondissementsCes véhicules et moyens logistiques sont destinés aux services techniques de l’administration communale et aux mairies d’arrondissements

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Le théâtre populaire : Un tour dans l’univers des motos ressuscitées
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L’hôpital des motos, c’est le théâtre populaire. C’est l’endroit où l’on « ressuscite, réhabilite et recycle » les motos. On ne se rend pas dans ce marché et repartir sans être satisfait. On répare les motos, on les vend. C’est un centre d’affaire où l’on retrouve de différentes spécialités toutes liées aux motos. Nous avons rencontré ceux qui animent la vie de ce marché ce mercredi 23 octobre 2019 afin de vivre leur quotidien et s’imprégner des difficultés auxquelles ils sont confrontés. Lisez plutôt.

Le marché du cycle, appelé communément le « théâtre populaire » est un vaste marché où l’on vend des motos neuves, des motos d’occasion, qui sont réparées par des mécaniciens. Pour certains, comme Issaca Kaboré, tapissier, fabriquant de sièges de motos, c’est l’hôpital des motos car « tu viens avec une vielle moto, tu repars avec une neuve » a-t-il indiqué. Les boutiques au sein du marché sont tenues par des commerçants qui vendent pour la grande partie, des motos neuves et des pièces de rechange. A côté, les revendeurs proposent aux clients des pièces détachées d’occasion, qu’ils étalent sur les espaces libres qu’ils occupent dans le marché. Ils sont les premiers à accoster les clients ou les passants. Au théâtre populaire, on est actif. Les motos sont démontées et remontées. Il n’y a pas une pièce de moto que l’on ne trouve dans ce centre d’affaire qui regroupe différentes spécialités. En effet, mécaniciens, électriciens, peintres, tapissiers, etc., travaillent pour satisfaire les clients.

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Justin Zongo répare les motos et les revend

Justin Zongo, mécanicien avec 29 ans d’expérience dans le métier, confie que comme d’autres spécialistes, il achète de vielles mots, qu’il répare et revend avec bénéfice. Il n’est pas seul à travailler sur les motos. Sa spécialité étant le bloc moteur, il confie qu’après l’avoir réparé, il passe l’engin à l’électricien qui répare tout ce qui concerne l’électricité, qui à son tour passe la main au peintre qui finit le travail. « Toutes ces étapes franchies, la vielle moto est toute neuve pour la placer sur le marché de la vente » a-t-il soutenu. Pour une moto achetée à 50 milles francs CFA par exemple, le mécanicien affirme qu’il peut la revendre à 250 mille ou 275 mille francs CFA.

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Inoussa Nabolé regrette la lenteur au niveau du ministère des transports​

Inoussa Nabolé mécanicien spécialisé aussi dans la réparation de vielles motos et leur revente aussi abondera dans le même sens que lui. D’après lui, si la réparation de la moto ne pose aucun problème, c’est sa revente qui pose très souvent des difficultés. D’après lui, la crise économique que traverse le pays a des conséquences sur leurs affaires. La lenteur du travail au niveau aussi du ministère des transports ne les aide pas a-t-il souligné. Le changement de nom sur la carte grise, l’attestation de vente, etc. des documents fournis par le ministère en question, ne sont pas établis dans de brefs délais. Cette situation a amené Justin Zongo à déclarer : « je peux dire qu’au niveau du transport, les agents ne travaillent pas ». Inoussa Nabolé regrette aussi l’augmentation des frais des documents qui selon lui, constitue des frais supplémentaires dans les dépenses qu’ils font avant la revente des engins. Pour sa part, il a invité les autorités à revoir les frais en question. Cela leur permettra d’écouler très rapidement les motos réparées.

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Feux tricolores solaires : Le Ministre Bachir met en service des feux tricolores solaires, au carrefour de l’Hôtel administratif de Ouagadougou
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Le Ministre de l’Énergie, Dr Bachir Ismaël OUEDRAOGO, a mis en service des feux tricolores solaires à Ouagadougou, au carrefour de l’Hôtel administratif sis à ZACA, ce vendredi 18 octobre 2019. Après la mise en service, les feux tricolores ont été remis officiels à la ville de Ouagadougou, au profit de l’arrondissement n°1.

Il a beau être devenu tout à fait discret au fil des générations, voire insipide à l'œil, le Toyota RAV4 n'en est pas moins l'un des pionniers des SUV de loisir (avec le Honda CR-V)... et l'un des plus vendus au monde, depuis ses débuts en 1994. Le RAV4 cinquième du nom renoue en tout cas avec ce qui a fait le succès de la toute première mouture, celui que l'on surnommait "fun cruiser" à l'époque : son look. Pas sûr que ces arêtes et sa silhouette toute en angles plaisent à tout le monde, mais on ne lui reprochera plus de manquer de charisme... Au moins, il se démarque dans le paysage du tout-SUV devenu la norme !

Étrangement, il parait bien plus imposant que son devancier. Les cotes ont pourtant très peu changé (il est même légèrement plus court, d'un petit centimètre) : à peine plus large (1 cm), la garde au sol a aussi été rehaussée et la ligne de toit légèrement abaissée (1 cm). Avec le capot désormais quasi horizontal, le RAV4 est presque devenu brutal ! L'ambiance est du même registre en s'installant au volant : le mobilier donne dans le rectiligne, le massif, à l'image de ces grosses commandes de clim' en caoutchouc. La finition a progressé dans le bon sens, d'ailleurs.

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Même constat pour le contenu techno... à la page, bien que l'interface média et l'écran central manquent parfois de lisibilité, au niveau des divers menus. Et si le très original rétroviseur central intégrant un écran LCD (une caméra arrière s'occupe de la rétro-vision) offre un sympathique parfum de gadget digne d'un concept-car, l'utilité est relative : on apprécie moins aisément les distances, des reflets sont trop présents selon l'orientation... Heureusement, la tirette permet de désactiver cette fonction pour revenir à un miroir classique.

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Toyota RAV4 (2019), il y a plus à découvrir
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Tout change pour la cinquième génération du Toyota RAV4 ! Nouvelle plateforme, look totalement renouvelé et choix techniques atypiques ont déjà le mérite de l'originalité sur le segment. Le RAV4 2019 est uniquement disponible en hybride.

Il a beau être devenu tout à fait discret au fil des générations, voire insipide à l'œil, le Toyota RAV4 n'en est pas moins l'un des pionniers des SUV de loisir (avec le Honda CR-V)... et l'un des plus vendus au monde, depuis ses débuts en 1994. Le RAV4 cinquième du nom renoue en tout cas avec ce qui a fait le succès de la toute première mouture, celui que l'on surnommait "fun cruiser" à l'époque : son look. Pas sûr que ces arêtes et sa silhouette toute en angles plaisent à tout le monde, mais on ne lui reprochera plus de manquer de charisme... Au moins, il se démarque dans le paysage du tout-SUV devenu la norme !

Étrangement, il parait bien plus imposant que son devancier. Les cotes ont pourtant très peu changé (il est même légèrement plus court, d'un petit centimètre) : à peine plus large (1 cm), la garde au sol a aussi été rehaussée et la ligne de toit légèrement abaissée (1 cm). Avec le capot désormais quasi horizontal, le RAV4 est presque devenu brutal ! L'ambiance est du même registre en s'installant au volant : le mobilier donne dans le rectiligne, le massif, à l'image de ces grosses commandes de clim' en caoutchouc. La finition a progressé dans le bon sens, d'ailleurs.

Même constat pour le contenu techno... à la page, bien que l'interface média et l'écran central manquent parfois de lisibilité, au niveau des divers menus. Et si le très original rétroviseur central intégrant un écran LCD (une caméra arrière s'occupe de la rétro-vision) offre un sympathique parfum de gadget digne d'un concept-car, l'utilité est relative : on apprécie moins aisément les distances, des reflets sont trop présents selon l'orientation... Heureusement, la tirette permet de désactiver cette fonction pour revenir à un miroir classique.

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Sens de l'accueil

On retient surtout du RAV4 son espace à bord. La nouvelle plateforme (partagée avec la Lexus ES) permettant d'implanter les batteries sous la banquette arrière, le volume libéré profite aux bagages avec 580 l, soit 79 l de plus que le précédent. Au total, la capacité grimpe à 1.690 l banquette rabattue. Par ailleurs, l'empattement plus long a permis d'augmenter légèrement l'espace aux jambes arrière (4 cm de plus), très vaste. Notons aussi que le dossier offre un meilleur maintien qu'auparavant. Revers de la médaille, la modularité est réduite au minimum : pas de banquette coulissante, ni de double fond, et encore moins de version 7 places. Le gabarit n'aurait de toute façon permis qu'une troisième rangée d'appoint, comme chez ses rivaux de la catégorie.

 

En bon SUV familial et agréable à vivre, le japonais a aussi soigné le confort de roulement, d'excellent niveau désormais. Le typage des liaisons au sol n'offre pas grand-chose de dynamique mais parvient tout de même à contenir les mouvements y compris sur les routes sinueuses de Catalogne, cadre de notre essai. L'agrément est réel... bien qu'un peu spécial vu qu'il convient de s'accommoder au fonctionnement de la mécanique hybride, la seule offre disponible en France et dans la plupart des pays d'Europe.

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Hybride, sinon rien

Pas d'Essence, et encore moins de Diesel sous le capot du RAV4 ! C'est là son plus gros intérêt, en réalité : l'unique motorisation proposée chez nous repose toujours sur la même technologie, qui a assuré au groupe Toyota le rôle de spécialiste du genre... depuis la toute première Prius ! L'hybride non-rechargeable ou full hybrid, concrètement, ne vise pas à enchaîner de longues distances en tout-électriques comme le fait un hybride plug-in, mais à combiner en continu l'assistance de l'électrique au bloc thermique.

Inchangé dans son principe, le système a néanmoins été largement revu : on trouve désormais un gros 4 cylindres de 2,5 l à cycle Atkinson (178 ch) et double injection, associé à un moteur électrique de 120 ch, voire un deuxième, accouplé à l'essieu arrière dans le cas de la version 4 roues motrices. Celle-ci se permet d'afficher des chiffres d'homologation légèrement plus favorables : 4,4 l /100 km et 100 g pour la transmission intégrale (4,5 l et 102 g en traction). Et des chronos à peine plus énergiques (0 à 100 km/h en 8,1 s soit 3 dixièmes de mieux).

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Dans les faits, l'ensemble se montre suffisamment énergique et coupleux mais impose de s'accommoder au fonctionnement particulier de la boite : toujours un train épicycloïdal qui s'apparente à une transmission à variateur... avec ses travers, surtout celui d'une désagréable sensation d'emballement peu élégante dès que le pied droit se montre un peu lourd. Ce qui impose une discipline d'éco-conduite, sous peine de s'infliger cette éternelle impression de mouliner dans le vide !

En souplesse, cette motorisation prend tout son sens : la douceur de marche est réelle et l'ordinateur de bord reste alors sans peine autour des 7 l/100 km. Pas mal, pour presque 1,7 tonne à vide. Hélas, les longs trajets sur autoroute ont raison de cette intéressante sobriété, comme c'est souvent le cas pour ce type d'hybride. Même à vitesse stabilisée, la moyenne s'établit autour de 8,5 l / 100 km. Pas de quoi encore remplacer le Diesel pour les très gros rouleurs…

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Tarifs : optimisation fiscale

Les professionnels apprécieront. Homologué à 100 g/km de CO2, le RAV4 échappe à tous malus et à la TVS (sauf avec les jantes de 18p : 103 g). La carte grise est aussi gratuite, dans la plupart des départements. De quoi en partie compenser des tarifs assez coquets : plus de 22 millions de FCFA (plus de 24 millions de FCFA en 4 roues motrices), ce qui place le RAV4 dans le haut du panier des SUV généralistes. L'équipement est plutôt riche.

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Etablissement Kaboré et Frères, le partenaire qui vous offre des jantes et des pneus à bons prix
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Les Etablissement Kaboré et Frères est votre spécialiste dans la ventes de jantes et de pneus de qualité. Vous pouvez y trouver toutes sortes de gentes notamment pour des véhicules de marque Toyota, Jeep, Land Cruiser etc. Les Etablissement Kaboré et Frères offre également des gentes dites universelles adaptables à toutes sortes de véhicules.

Les Etablissement Kaboré et Frères travaille à satisfaire des clients de toutes les catégories sociales. Il offre ses services aussi bien aux particuliers qu’aux revendeurs de jantes et accessoires de véhicules. Les Etablissement Kaboré et Frères assure une présence remarquable dans les provinces du pays. Il offre la possibilité d’un paiement avec ou sans garantie.

 

Les Etablissement Kaboré et Frères est  situé en face de la Cathédrale de Ouagadougou sur la voie à sens unique pour les gentes et  en face de la Bijouterie J’adore sur la route menant au stade municipal pour les pneus.

 

Contacts : (+226) 78 84 96 26 / 78 34 89 39

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Les voitures d’occasion : Le marché explose au Burkina Faso, les autorités veulent reprendre la main
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Les différents organismes d’Etat du Burkina tentent de contrôler et taxer tous les engins vendus à Ouagadougou et ailleurs. Les importations d’occasions auraient progressé de 57% en l’espace de 4 ans.

En dépit d’un contexte géopolitique pas toujours favorable, l’économie burkinabé est en forme. En témoigne l’évolution du marché du véhicule d’occasion, selon Le Faso.net : « Ces dernières années, on assiste dans la capitale burkinabé à une explosion du marché de la vente du véhicule d’occasion » explique le journal. Et de préciser qu’entre « 2014 et 2018, on est passé de 16 210 à 25 454 véhicules convoyés annuellement sur le territoire burkinabé ». Soit une augmentation de 57%…

Bon pour l’économie et pour la sécurité routière (la moto dominait le parc roulant burkinabé jusqu’à il y a peu), ce boom a aussi un effet pervers : « le désordre règne en maître » selon Le Faso.net, que ce soit au niveau des sites de vente, de l’absence de garanties et de scrupules de la part de vendeurs qui ne sont pas forcément des professionnels de l’automobile.

Ces derniers ont donc choisi de se regrouper au sein d’une structure en 2018, la Fédération nationale des associations des vendeurs de véhicules d’occasion (FNAVVOB) qui s’est donné pour mission « d’assainir le secteur » selon Le Faso.net, en lien avec les autorités.

Des autorités qui, justement, multiplient les démarches visant à contrôler les entrées de véhicules sur le territoire. D’abord parce que les importations « sauvages » ne rapportent pas un franc à l’Etat, ensuite parce que ces véhicules, munis de faux documents administratifs, sont du pain béni pour la criminalité. Les recettes douanières liées à l’importation d’occasions génèreraient 12 milliards de francs par an, selon le chef du bureau de dédouanement des véhicules cité par Le Faso.net.

Nouveaux papiers, nouvelle taxe

Mais pour 2019, la recette pourrait être supérieure. Cette année en effet, l’abattement sur les véhicules d’occasion importés de plus de 10 ans a été réduit de moitié (25% au lieu de 50%). D’autre part, une taxe sur les véhicules a été instaurée. Celle-ci est relative à la puissance fiscale, elle s’échelonne entre 7000 FCFA par an (8 CV et moins) et 30 000 FCFA pour les autos de 20 CV et plus.

Autant de mesures financières qui font dire au Fonds monétaire international (FMI) que le Burkina Faso devrait gagner « 0,1% de PIB » rien que grâce aux véhicules d’occasion.

Frapper au portefeuille n’est cependant pas la seule mesure mise en place par le gouvernement. Permis de conduire, certificats d’immatriculation, tous les documents officiels doivent être refaits par les usagers de la route burkinabés. Le but est de lutter contre la falsification de ces papiers. En janvier dernier, le chef du bureau de dédouanement des véhicules avait abordé le sujet devant la presse : « Des investigations ont été menées par les services des douanes, qui ont permis de saisir 73 véhicules et d’engranger environ 140 millions de francs CFA de recettes douanières et 85 millions de francs CFA de pénalités » relate ainsi Le Pays.

Enfin, la création d’un guichet unique, qui permettra d’effectuer toutes les formalités propres à un véhicule pénétrant sur le territoire burkinabé, est en cours.

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Les taximan et la monnaie
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Quand on dit que le client est roi, ce n’est pas au niveau des conducteurs de taxi de Ouagadougou. Si certains font leur travail correctement et avec plaisir, il y en a d’autres qui sont désagréables avec les clients et même les usagers de la route.

 

Ces derniers reçoivent les clients avec une impolitesse incroyable .Ils les accueillent en tempêtant. Ces conducteurs ne veulent surtout pas faire l’effort de chercher de la monnaie pour remettre à leurs clients.
Bien sur que les clients doivent éviter de leur remettre à la première heure un billet de
10 000 Fcfa pour une course de 300 Fcfa. Mais le taximan se doit de prévoir des petites monnaies pour satisfaire leurs clients car après tout c’est le vendeur qui a l’obligation de rendre la monnaie à l’acheteur. Les taximan doivent savoir que l’accueil des clients est très important et la propreté du véhicule doit être de règle. C’est à travers le taxi et sa propreté, et la chaleur de l’accueil de son conducteur que l’étranger garde l’image d’une ville ou même du pays tout entier.

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Découverte
Nouvelle Ford Mustang encore plus de performance
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Ford continue de faire évoluer les différentes versions de la Mustang. Ainsi grâce à l'apport de quelques améliorations apparues sur la nouvelle Ford Mustang Shelby GT500, la Ford Mustang Shelby GT350R se veut plus maniable et dispose d'une meilleure réactivité de la direction.

 

Ceci est rendu possible grâce à une nouvelle géométrie de la suspension avant, à la présence d'une nouvelle crémaillère de direction, ainsi qu'à une meilleure calibration de la direction assistée électriquement.

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Quelques éléments spécifiques

De plus, aux côtés de quelques équipements proposés en option, la Ford Mustang Shelby GT350R a droit de série à divers éléments en fibre de carbone comme les jantes de 19 pouces, le large spoiler avant ou l'aileron arrière, ainsi que des étriers de freins peints en rouge ou un volant spécifique en forme de D.

Plus légère que la Ford Mustang Shelby GT350 (environ 40 kg), grâce notamment à la disparition des sièges arrière, la Ford Mustang Shelby GT350R est équipée d'un V8 de 5,2 litres de cylindrée développant plus de 520 chevaux (278 km/h en vitesse de pointe). Ce moteur est toujours associé à une boîte de vitesses manuelle à six rapports.

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Le prix de départ de cette Ford Mustang Shelby GT350R, actuellement disponible uniquement aux Etats-Unis, est d'un peu plus de 40 millions de FCFA.

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Accidents de la route
le port du casque, un réflexe qui peut sauver de nombreuses vies
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Le port du casque est le moyen le plus efficace de réduire les blessures à la tête et les décès provoqués par des accidents de motos. On a montré qu'il permettait de diminuer le risque et la gravité des blessures de plus 70%, la probabilité d'un décès de presque 40% et qu'il réduisait sensiblement les coûts des soins associés à de tels accidents.

 

L'Organisation mondiale de la Santé (OMS) redouble d'efforts pour aider les gouvernements, en particulier ceux des pays à bas et moyens revenus, à augmenter le port du casque.

Un  Rapport mondial sur la prévention des traumatismes dus aux accidents de la circulation, publié par l'OMS et la Banque mondiale, a démontré que le fait de rendre le port du casque obligatoire constituait une mesure efficace pour réduire les blessures et les décès parmi les usagers de deux-roues.

 

De nombreux pays ont réussi à augmenter le port du casque en adoptant des lois le rendant obligatoire, en faisant appliquer ces lois et en informant le public à ce sujet, de même que sur les avantages du port du casque. Au Burkina Faso cette pratique tarde à prendre place dans le quotidien des usagers de la route, un geste qui pourtant peut sauver de nombreuses vies.

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Burkina Faso
De nouvelles plaques d’immatriculation pour lutter contre l’insécurité
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Le ministre des transports, de la mobilité urbaine et de la sécurité routière, Vincent Dabilgou, a animé ce mercredi 14 Aout 2019 une conférence de presse sur la modernisation et la sécurisation des titres de transport et la ré-immatriculation des véhicules. Cette conférence avait pour but selon le conférencier de donner des informations sur les réformes majeures entreprise par le gouvernement en matière de modernisation et de sécurisation.

 

‘’Depuis le 9 juillet dernier, commencent à circuler sur nos voies routières, des véhicules avec de nouvelles plaques d’immatriculation’’, a indiqué le ministre Dabilgou dans sa rencontre avec les journalistes. Il a par ailleurs ajouté que ‘’cela s’inscrit dans une dynamique de réformes gouvernementales au même titre que le changement et la délivrance des nouveaux permis de conduire’’.

‘’Les cartes grises et les permis de conduire étaient devenus l’objet de faux et de falsification’, a précisé le ministre. Le système d’immatriculation doit selon le chef du département des transports permettre de rechercher et d’identifier précisément un véhicule, de rechercher et réprimer les infractions au Code de la route. Par exemple indique-t-il, ‘’si la carte grise est fausse, en cas d’infractions au Code de la route ou de délit de fuite, les autorités compétentes ne disposent pas d’informations fiables et sures pour identifier et poursuivre le fautif’’.

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‘’Outre l’insécurité en général, les nouvelles plaques d’immatriculations viendront résoudre des problèmes d’insécurité routière, d’insécurité financière et certaines considérations techniques  parce que l’ancien système d’immatriculation était devenu vétuste’’ a conclu Vincent Dabilgou.

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Santé
‘’Le port de verres photo gray permet à l’œil de se reposer’’, Dango Hilaire, responsable de la lunetterie NIFRI
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Le port des lunettes joue un rôle important dans la conduite des véhicules. Pour en savoir plus votre magazine Faso Auto-Moto a rencontré pour vous un spécialiste du domaine. Monsieur Dango Hilaire est responsable de la lunetterie NIFRI, une structure spécialisée dans la confection et la vente des verres correcteurs. Il nous donne des précisions.

 

Faso Auto-Moto (F.A.M.): Pouvez-vous vous présentez à nos lecteurs ?

Dango Hilaire (D.H.) : Je me nomme Dango Hilaire, je suis associé-gérant de la lunetterie Nifri.

F.A.M. : Qu’est-ce qu’une lunette et quelle est son utilité ?

D.H.: Par définition une lunette est un équipement optique destiné à améliorer la qualité de la vue sinon à protéger la vue.

F.A.M : Quelles sont les différentes catégories de verres qui existent et lesquelles sont conseillées aux conducteurs de véhicules ?

D.H. : Il y a différentes catégories de verres et elles sont classées d’abord selon l’usage qu’on en fait, ensuite selon la géométrie, puis selon qu’ils sont progressifs ou non et enfin selon la matière utilisée pour sa confection. Selon l’usage nous avons les verres de protection et les verres correcteurs même si parfois les verres correcteurs sont aussi des verres de protection. Selon la géométrie nous avons les verres à vision de loin et les verres à vision de près. On peut aussi les classes selon qu’elles sont progressives multifocaux ou mono focaux.  Au niveau du matériel utilisé nous avons les verres organiques et les verres à minéraux. Ce sont là les différentes catégories de verres qu’on nous pouvons rencontrer.

Pour ceux qui conduisent des véhicules il y a deux cas selon que la conduite est de jour ou de nuit. Toujours est-il que pour les conducteurs il faut des verres antireflets aussi bien dans la journée que dans la nuit. Pour les conducteurs nous proposons des verres à filtres jaune pour ceux qui conduisent la nuit. Ce filtre a la particularité d’améliorer les reflets améliorant du même coup les contrastes et les reliefs. Pour la conduite de jour ce sont des verres en antireflet. Pour ceux qui sont à l’intérieur des véhicules nous proposons une technologie appelée ‘’transition’’. C’est en fait un photo-gray. Les verres en ce moment deviennent un peu sombres en cas d’excès de lumière afin de protéger le conducteur.

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F.A.M : Faut-il attendre d’avoir des problèmes d’yeux avant d’avoir recours à un opticien ?

D.H. : Pas du tout. Il ne faudrait pas attendre d’avoir des maux d’yeux avant d’avoir recours à un ophtalmologue. Il faut généralement aller voir l’ophtalmologue de temps à autres. Pour les enfants il est conseillé de rencontrer un ophtalmologue au moins une fois par an. Pour les adultes il faut le faire chaque deux ans.

L’on peut recourir à l’opticien si le besoin se fait ressentir. Par ailleurs l’on peut décider d’anticiper les choses en choisissant des verres de protection en fonction des boulots qu’on effectue. Les chauffeurs peuvent prendre des verres antireflets pour améliorer les contrastes.

F.A.M : En tant qu’opticien quelles sont les types de personnes qui ont recours à vos services et pourquoi ?

D.H. : Nous avons généralement à faire avec des patients atteints d’amétropie c’est-à-dire des patients atteints de myopie, d’hypermétropie, de presbytie. A partir d’un certain âge tout le monde a un défaut de vue qu’on appelle généralement la presbytie. L’œil commence à s’affaiblir. Pour un chauffeur de véhicule il n’arrivera plus à bien voir sur son tableau de bord lorsqu’il est atteint de ce type d’anomalie. A ce moment nous lui proposons des verres progressifs. Il aura ainsi une combinaison qui pourra lui permettre de voir de loin comme de près. Nos clients sont généralement des chauffeurs de véhicules ; des utilisateurs d’écrans d’ordinateurs, des soudeurs etc.

F.A.M : Quelle différence existe-t-il entre un opticien et un ophtalmologue ?

D.H. : Tous les deux sont des professionnels de la santé mais l’ophtalmologue intervient avant l’opticien. C’est un travail en chaine. L’ophtalmologue est un médecin spécialisé dans la santé oculaire. L’opticien quant à lui est un paramédical. Il est spécialisé dans le montage d’équipement visuels et de verres correcteurs. C’est l’ophtalmologue qui recommande le patient à l’opticien.

F.A.M : Avez-vous un appel à lancer ?

D.H. : Mon appel c’est d’inviter les Burkinabè à consulter le plus souvent les ophtalmologues parce que nous sommes dans un pays où il y a assez  soleil. Normalement tout le monde doit porter des verres photo gray afin de permettre à l’œil de se reposer. Il ne faut pas aussi attendre d’avoir des problèmes d’yeux avant d’avoir recours à un ophtalmologue. Aux parents j’aimerais dire qu’ils doivent souvent envoyer leurs enfants en consultation oculaire, cela pourrait permettre de déceler le plutôt certaines anomalies.

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Imposant, élégant et luxueux,
voici la définition du nouveau
Volvo XC90
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Le XC90 se donne comme mission de faire voyager ses sept passagers en première classe. Les sièges avant sont disponibles avec une fonction de massage, la deuxième rangée s'incline et se glisse, et la troisième rangée procure un grand dégagement pour les jambes. D'un autre côté, on peut rabattre tous les dossiers arrière pour libérer 1 868 litres d'espace à bagages. Des moteurs à essence de 250 et 316 chevaux ainsi qu’un système hybride de 400 chevaux figurent au menu.

 

Le renouveau suédois

On ne cessera de le rappeler, le Volvo XC90 a marqué les esprits en 2017 lors de sa présentation officielle. Il a ramené la lumière sur la marque suédoise au point de rafler de nombreux prix de la presse automobile dont celui de voiture de l’année.
Quelques années après, il est toujours aussi élégant et a montré la voie aux deux SUV de Volvo, le XC60 2019 et le XC40 2019, ainsi qu’à l’ensemble de la gamme avec notamment ces lumières avant en forme de marteau.
de la gamme avec notamment ces lumières avant en forme de marteau.

L’extérieur du XC90 2019

Avant de pénétrer à l’intérieur de ce nouveau SUV, arrêtons nous sur l’extérieur et la première image que renvoie ce Volvo XC90 2019. Imposant, élégant et luxueux. Voici les premiers mots que l’on pourrait lui accrocher.
Le côté imposant se caractérise certes par son gabarit, mais surtout par cette calandre sur la face avant du véhicule. Les lignes sur la carrosserie renforcent encore ce sentiment avec des passages de roues marqués.
Son élégance vient sans doute des blocs optiques avant et arrière. Les lumières avant en forme de marteau et les deux lumières arrière en forme de «L» subliment l’extérieur de ce Volvo XC90 2019.
Notons également les superbes jantes en aluminium proposées, allant de 18» à 20» en fonction de la version choisie.

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L’intérieur du Volvo XC90 2019

À l’intérieur, le Volvo XC90 est irréprochable jusque dans les moindres détails.
Son tableau de bord entièrement digital permet à Volvo de proposer un environ différent d’autres constructeurs. Moderne, il est aussi agréable et permet de mettre les informations de conduite en évidence.
L’écran central est lui un modèle de simplicité d’utilisation. Les informations et les réglages possibles se trouvent facilement. Il ne vous faudra que quelques instants pour configurer votre Volvo XC90 à votre guise.


Force de ce SUV suédois, sa troisième rangée de sièges permettant de proposer jusqu’à 7 places assises. En vous y installant, vous comprendrez que le confort des passagers est une priorité de Volvo. Petits et grands gabarits se retrouveront à l’aise, quelle que soit sa place.

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Le moteur du Volvo XC90

Comme le XC60, le Volvo XC90 propose 3 motorisations :
Le moteur T5 de 250 chevaux
Le moteur T6 de 316 chevaux
La motorisation T8 hybride de 400 chevaux

Prix

À partir de 43 millions de FCFA. 

Consommation

De 2.3 à 6.0 litres / 100 km.

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Découverte
Le Range Rover Velar
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Une simplicité singulière et charismatique. Le Range Rover Velar ouvre la voie en matière de design avant-gardiste. Épuré, élégant et unique, ce véhicule en impose par son charisme et sa présence. Quelle que soit votre destination, vous ne passerez pas inaperçu à bord du Range Rover Velar.

 

DESIGN

 

La philosophie derrière le design du Range Rover Velar est révolutionnaire.

L’aérodynamisme du véhicule est renforcée grâce à ses proportions saisissantes, ses poignées de porte affleurantes et son becquet arrière intégré. La calandre gaufrée donne à l’avant du véhicule un charisme indéniable.

 

TECHNOLOGIES INGÉNIEUSES

 

Le système d'infodivertissement Touch Pro Duo se compose de deux écrans tactiles 10" haute définition. Vous pouvez utiliser Touch Pro Duo avec l'affichage tête haute et le tableau de bord virtuel disponible en option afin de voir et d'interagir simultanément avec plusieurs fonctionnalités.

 

PERFORMANCES

Que vous rouliez sur l'autoroute ou que vous négociez un chemin de campagne compliqué, le Range Rover Velar montre toute l'étendue de son talent. Sa transmission intégrale (AWD) associée à la dynamique de transmission intelligente et au système Torque Vectoring garantit de superbes sensations de conduite.

 

DÉCOUVRIR L’INTÉRIEUR

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L’habitacle du Range Rover Velar respire l’élégance en toute simplicité. De l’éclairage d’ambiance intérieur configurable aux double accoudoirs coulissants, tout a été conçu et pensé pour la détente de tous les passagers à bord.

MOTORISATIONS

Accélérations nettes et sans effort, rendement amélioré et émissions de CO2réduites : tous les moteurs proposés sur le Range Rover Velar ont été optimisés. Construits en aluminium légers, ces moteurs 4 cylindres ou V6 offrent une grande réactivité. Associés à la transmission automatique qui permet de changer rapidement de rapport, les performances et les accélérations sont sensationnelles.

 

INNOVATIONS

 

Commandes affleurantes intégrées au volant, double écran tactile de 10", affichage tête haute nouvelle génération et phares phares à LED Matrix-Laser : le Range Rover Velar est doté des toutes dernières technologies en termes de design et d'innovation.

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PRIX

 

A partir de 46 millions de FCFA.

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Afrique

Le nouvel eldorado des constructeurs automobiles
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Les constructeurs automobiles n’ont pas de doute. L’Afrique est le nouvel horizon de la vente des véhicules neufs dans le monde.

 

Les principaux fabricants se tournent vers le continent dans un contexte de multiplication de restrictions environnementales dans les pays occidentaux, ainsi que d’une augmentation de la classe moyenne africaine. Mais cette nouvelle politique se heurte à un écueil : l’Afrique carbure essentiellement aux véhicules d’occasion.

“Nous n’avons pas la capacité ; nous n’avons ni la main-d‘œuvre, ni le capital financier pour faire progresser cette industrie du secteur manufacturier dans le secteur automobile”, nuance John Kipchumba, président de Kenya Auto Bazaar Association (KABA), une compagnie spécialisée dans la vente de voitures d’occasion au Kenya.

BMW, Nissan,Toyota, Volkswagen et d’autres entreprises ont uni leurs forces pour faire pression sur les gouvernements afin de limiter les importations de véhicules d’occasion dans plusieurs pays d’Afrique subsaharienne. Quatre ans après la création de l’Association des Constructeurs Automobiles, leurs efforts commencent à porter leurs fruits. Par contre, il faut rattraper des décennies de retard.

“Il est très facile pour nous de produire des voitures dans l’une de nos usines mondiales, de les importer sur les différents marchés africains, mais si nous voulons vraiment créer une industrie durable, je pense qu’il est important que nous commencions à regarder et à faire les premiers pas vers ce genre d’industrialisation”, argue Mike Whitfield, cadre exécutif de Nissan Africa.

L’importation des voitures d’occasion encadrée

Pour stimuler le secteur automobile local et réduire les importations de véhicules usagés, le gouvernement du Kenya a annoncé de nouvelles mesures restrictives sur l’importation des voitures d’occasion dès 2021. Pour les clients, cette nouvelle politique aura des conséquences désastreuses sur le pouvoir d’achat. Nelson Mwangi, potentiel consommateur, anticipe les dangers d’une telle mesure.

“Pour l’instant, peut-être qu’avec 5 700 000 FCFA vous pouvez acheter un véhicule de 2 000 cm3. Mais avec la mise en œuvre de cette politique, cela signifie qu’avec cette même somme, vous ne pourrez pas obtenir un véhicule de 2 000 cm3. Vous êtes obligés de vous procurer un véhicule de capacité inférieure. En ce qui me concerne, je pense que la mise en œuvre de cette politique ne sera pas bénéfique au consommateur”, explique-t-il.

Malgré le faible pouvoir d’achat du marché africain, les constructeurs automobiles disent compter sur la bonne volonté des gouvernements. Ils rappellent que lorsque General Motors et Volkswagen entraient dans le marché chinois dans les années 1980, 1990, le taux de propriété de véhicule étaient inférieurs à ceux de nombreux marchés africains. Aujourd’hui, ces deux entreprises vendent à elles seules plus de 3,5 millions de véhicules par an en Chine.

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L'Audi A4

Plus sportive et toujours plus connectée
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Un nouveau look encore plus sportif, et davantage de technologies embarquées. Voici la nouvelleAudi A4. Un futur carton commercial ?

L'Audi A4 fait partie des modèles les plus commercialisés dans le monde, au sein de la gamme de la marque allemande.

Une nouvelle identité visuelle

Audi vient de dévoiler la nouvelle version de son Audi A4 (berline, break, allroad quattro, s4 et S4 break). Une voiture qui adopte une nouvelle identité stylistique et qui reprend les technologies de prestige des plus grandes Audi. Une voiture qui fait peau neuve, tout en conservant son ADN. Un véhicule entièrement connecté, et doté d'un nouvel écran tactile MMI touch.

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Extérieurement, la nouvelle Audi A4 adopte une calandre Singleframe plus large, plus plate, avec des lignes horizontales qui soulignent la largeur et l'aspect massif de la voiture. Cette Audi A4 semble avoir gagné des muscles, notamment au-dessus des ailes, et au niveau des passages de roues. Au final, la voiture est plus massive, ce qui met notamment en évidence les gènes quattro de l'A4.

Une voiture connectée et électrifiée

Intérieurement, c'est la sérénité qui prime. Le tableau de bord est légèrement incliné vers le conducteur. En son centre, on notera la présence d'un grand écran MMI touch, tactile, qui devient le centre de contrôle du nouveau système de gestion du véhicule. À noter que plusieurs packs sont proposés pour améliorer encore l'habitacle, comme les packs intérieurs, design sélection, S line intérieur ainsi qu'un pack d'ambiance lumineuse.

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Entièrement connectée, la nouvelle Audi A4 sait aussi être électrique. Trois variantes de moteur seront dotées d'un système hybride léger réduisant la consommation de carburant de la voiture (12 volts ou 48 volts pour les Audi S4). Au total, six moteurs suralimentés seront proposés, essence ou diesel (de 136 ch à 347 ch), associés pour la plupart à une boite automatique à 7 ou 8 rapports, pour cette nouvelle Audi A4, à l'occasion de son lancement européen, à l'automne prochain !

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Acheter une voiture d'occasion

Quels sont les points mécaniques à vérifier ?
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Lorsque vous essayez une voiture d'occasion, l'inspection est un passage obligé pour la carrosserie, les éléments extérieurs, l'habitacle et l'électronique, mais ce n'est pas tout. Il reste le cœur du véhicule, le moteur et ses composants. Que contrôler sur la route ? Découvrez les éléments à inspecter pour ne rien oublier.

Un premier coup d'œil

 

Si vous avez suivi la logique de nos étapes pour l'achat de votre véhicule d'occasion, quel que soit le mode de paiement, à crédit via un prêt auto ou comptant, vous êtes déjà passés par l'inspection extérieure (carrosserie, peinture, éclairage, vitres) et intérieure (électronique, sièges, systèmes embarqués, coffre, etc.). Il ne vous reste plus qu'un dernier thème avant d'emmener le modèle en essai routier, celui de la mécanique.

Premièrement, examinez les fixations du capot, soit l'état du vérin ou de la tige métallique, puis les différents joints présents pour voir s'ils se détachent ou sont craquelés, et enfin la partie isolation qui doit être plaquée et sans défaut.

Ensuite, jetez un coup d'œil sur l'aspect général du compartiment moteur en essayant de détecter en priorité d'éventuelles fuites. S'il est propre, c'est une bonne indication d'un entretien correct du véhicule par son propriétaire. Mais attention, cela ne veut pas dire que le moteur ou les différentes pièces mécaniques sont tous en parfait état !

Contrôlez les fluides

 

Vérifiez ensuite les trois principaux fluides consommés très rapidement :

  • Regardez le niveau d'huile moteur et demandez quel type a été utilisé ;

  • Inspectez le réservoir de liquide de refroidissement, qui ne doit être ni trop plein ni quasiment vide ;

  • Faites de même pour le liquide lave-glace.

S'il ne sert pas à grand-chose de contrôler techniquement l'état d'autres pièces à l'arrêt, demandez tout de même au vendeur l'âge de la batterie actuelle, si l'alternateur est d'origine, et quand les bougies ont été changées (si cela est le cas). N'hésitez pas à demander si les démarrages sont parfois difficiles. Dans cette éventualité, un des composants pourrait en être l'origine.

 

Sur la route

 

Une fois l'examen des différentes parties de la voiture effectué, il reste le contrôle le plus important, celui de l'essai routier. Tentez de convenir d'une durée d'au moins 15 minutes, le temps de vérifier toutes les fonctions principales et dans différentes situations : ville, voie rapide, voire route sinueuse.

Pendant l'essai de la voiture, vous pouvez proposer au vendeur de rouler en votre compagnie. Cela vous permettra de connaître le traitement qui lui a été infligé depuis plusieurs mois ou années, comme des passages de vitesses brusques ou une conduite nerveuse sollicitant davantage le moteur.

 

Pendant ce test, détectez si la direction possède des flous ou des vibrations, et faites de même avec les pédales d'accélération ou de frein à diverses pressions. Cela permettra de constater le fonctionnement du moteur et du système de freinage en toutes occasions. La boîte de vitesses est tout aussi essentielle. Prenez soin de passer tous les rapports, ce qui doit se faire sans accroc et sans que la pédale d'embrayage occasionne des difficultés (si boîte manuelle).

Notez également tout bruit suspect pouvant indiquer un problème mécanique compromettant l'état du véhicule, et toute fumée lors du fonctionnement de l'échappement.

Voilà, vous avez vérifié la mécanique et son fonctionnement. Si le véhicule d'occasion vous plaît et que vous êtes décidé à passer à l'achat, il vous reste alors des vérifications de documents à faire et à organiser la transaction.

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Parc auto

Les voitures les plus populaires à Ouaga
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Si vous vous promenez dans les rues de Ouagadougou, vous remarquerez immédiatement que vous êtes entouré de véhicules Toyota. Toyota est la marque la plus populaire au Burkina Faso et domine de loin les marchés automobiles du pays. 

 

Les principales raisons de la domination de Toyota sur le marché sont la disponibilité facile et le prix bon marché des pièces de rechange ainsi que la disponibilité de garages qui assurent l'entretien et la maintenance mineure, la peinture ainsi que l'entretien lourd de ces véhicules. Récemment, les modèles Toyota Yaris et Toyota Corolla sont les plus recherchés sur le marché. Les modèles tels que Toyota Yaris  et Toyota Camry sont très populaires en raison de leur prix plus bas et de leur faible consommation de carburant; leur petite taille les rend également faciles à garer.

RAV4 et Highlander sont parmi les marques Toyota les plus populaires à prix plus élevé à Ouagadougou, ainsi que Hyundai, BMW, et les derniers modèles d'autres marques.

Des marques telles que NissanMercedes, KiaMazda, ou encore Dodge, détiennent également une part importante du marché burkinabé. Cependant, en raison de leur prix élevé, du prix élevé des pièces détachées, de l'accès difficile aux garages de certaines de ces marques, d'une consommation de carburant relativement plus élevée, de la valeur de revente, etc. ils sont moins populaires.

Au cours des dernières années, de nombreuses personnes se tournent maintenant vers l'achat de camionnettes sur des berlines légères ou des véhicules compacts.

Toyota, Ford, et Nissan comptent parmi les camionnettes les plus populaires sur le marché.

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MAZDA CX-3

Une question de caractère et d’élégance
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Conçu pour célébrer le plaisir de conduire, le Mazda CX-3 fait souffler un vent de fraîcheur dans l’univers des SUV urbains. Avec son tempérament unique, ses Technologies Skyactiv, sa beauté saisissante, son système MZD Connect et son confort exceptionnel, il promet des aventures formidables. 

UN SENS INNÉ DE LA PERFECTION

Nous sommes convaincus que lorsqu’il y a harmonie entre le conducteur et la voiture, le plaisir de conduite devient plus authentique et intense. Les Technologies Skyactiv de Mazda visent justement à rendre la direction plus directe, la tenue de route plus rassurante et la conduite plus intuitive aussi bien dans les dédales urbains que sur les routes vallonnées.

 

UN INDÉNIABLE POUVOIR DE SÉDUCTION

Avec sa nouvelle calandre aux lames dédoublées qui renforce l’impression de profondeur et lui apporte un réel cachet, le SUV compact Mazda CX-3 a su rester fidèle au style caractéristique de ses prédécesseurs.

RESSENTEZ LE POTENTIEL

Chez Mazda, le plaisir de conduire est érigé au rang de dogme. Chaque aspect du Mazda CX-3 en matière de design, de technologies, de sécurité ou de performance a été revu en ce sens. Le bloc moteur a également été optimisé pour garantir un silence de fonctionnement et un confort à la hauteur de vos attentes.

 

UN SENS INNÉ DE L’ACCUEIL

Outre la console centrale entièrement redessinée et désormais dotée d’un frein de stationnement électrique, toutes les versions du Mazda CX-3 se distinguent par de nouvelles selleries et garnitures intérieures, ainsi que de nouveaux éléments de décor.

CONÇU POUR CÉLÉBRER LE PLAISIR DE CONDUIRE

Avec son moteur Skyactiv à la pointe de la technologie, le Mazda CX-3 fait preuve d’un niveau de dynamisme et d’efficience peu communs pour cette catégorie de véhicule.

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Mitsubishi

Outlander PHEV, et si on passait à l’électrique !
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Avec ce SUV hybride rechargeable signé Mitsubishi Motors, préparez-vous à vivre une expérience de conduite inédite. Propulsé par des motorisations électriques et à essence performantes, cette voiture innovante vous permet de bénéficier du meilleur de l’électrique sans ses contraintes.

 

Son mode 100% électrique vous laisse circuler en ville sans consommer de carburant et sans émettre aucune particule polluante. Dès que la charge de la batterie le nécessite, le mode Hybride enclenche imperceptiblement le silencieux moteur thermique afin de prendre le relai et vous mener au terme de votre trajet.

UN CONFORT RAFFINÉ

Spacieux et raffiné, l’habitacle de ce plug-in hybrid se caractérise par un vaste volume intérieur, une généreuse longueur aux jambes et par la grande qualité des matériaux utilisés.

Conçu pour vous offrir un confort optimum, chaque élément a fait l’objet d’un soin  particulier afin de vous offrir le meilleur. Repensés pour offrir un excellent maintien latéral et dotés d’une sellerie de qualité, les nouveaux sièges avant affichent un niveau de raffinement rare pour un véhicule familial.

HYBRIDE ET RECHARGEABLE

Avec la technologie Plug-in Hybrid Electric Vehicle, vivez pleinement l’évolution de l’automobile !

Propulsé par un système performant hybriderechargeable, le nouvel OUTLANDER PHEV vous permet de bénéficier lors de vos trajets quotidiens de tous les avantages d’une voiture 100% électrique, sans renoncer à l’autonomie offerte sur les grandes distances par un moteur thermique. 

AUTONOME ET ÉCONOME

Doté de la technologie unique Twin Motor 4WD et d’un système S-AWC entièrement repensé, ce SUV hybride rechargeable conjugue faible consommation de carburant et grande autonomie.

Ses deux moteurs électriques et sa motorisation thermique à essence vous assurent d’une autonomie de 45 km en mode 100% électrique tout en vous permettant de partir à la découverte de nouveaux horizons en toute confiance.

Son système 4 roues motrices permanentes garantie une stabilité et une puissance dynamique quel que soit le type de temps ou de route.

 

SÛR ET CONNECTÉE

Equipée des dernières technologies d’aide à la conduite, le nouvel OUTLANDER PHEV vous offre un niveau de sécurité exceptionnel. Ses capteurs intelligents analysent en permanence votre environnement et vous avertissent immédiatement d’un éventuel danger aussi bien sur route que dans les parkings.

Disponible sur toutes les versions, le système multimédia connecté Smartphone-link Display Audio (SDA) vous permet de connecter votre Smartphone ou d’écouter vos morceaux préférés grâce à son port USB. Il est compatible Apple CarPlay TM et Android Auto TM.

FABRIQUÉ POUR DURER

Fiable et durable, son système hybride rechargeable est conçu pour durer tout en préservant l’environnement.

Composants au cœur de sa technologie, les batteries bénéficient d’un soin particulier tant pour leur qualité que pour leur durée de vie. Pour vous permettre de rouler en toute sérénité, Mitsubishi Motors vous offre une garantie des batteries 8 ans ou 160 000 km.

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Nissan Qashqai :

La technologie vous emmène plus loin

Découvrez une expérience de conduite plus sereine, plus connectée et plus stimulante avec Nissan Intelligent Mobility et ses technologies qui surveillent votre environnement et peuvent intervenir pour vous éviter un accident. L’aide au stationnement de votre Nissan QASHQAI peut même faire les créneaux à votre place. Le système Nissan ProPILOT anticipe le futur avec ses technologies d’aides à la conduite qui vous offrent des trajets sur autoroute plus sereins.

 

QUAND L’ESTHÉTIQUE RENCONTRE LA TECHNIQUE

Le Nissan QASHQAI sait se faire remarquer avec sa grille de calandre spécifique en V, et ses feux avant et arrière en forme de boomerang. Dans l’habitacle, les finitions sont composées de matières de qualité aussi agréables à regarder qu’à toucher.

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CONNECTÉ À VOTRE SMARTPHONE ET À VOTRE VIE NUMÉRIQUE

Le Nissan QASHQAI vous propose des innovations technologiques en phase avec votre vie numérique. Par exemple, le Nouveau NissanConnect, avec son écran tactile 7" multi-touch et de nouvelles fonctionnalités comme les cartes 3D, les commandes vocales et l’intégration de votre smartphone par Apple CarPlay ou Android Auto.

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Moto :

Le business du montage et de l’écoulement des motos au Burkina Faso
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Du fait de la pression démographique et des distances de plus en plus longues, le besoin de moyens de déplacement s’impose aux Burkinabè. Pour faire face à la demande, chaque année, les entreprises de montage mettent plus de 50 000 engins à deux roues (motos) sur le marché. Ces sociétés ont des procédures particulières.

 

Une entreprise de montage est une société qui ne fabrique pas d’engins. Elle monte les engins à partir des pièces fabriquées au Burkina Faso ou à l’étranger.

Il existe plusieurs entreprises de montage de vélomoteurs. Ces entreprises sont spécialisées dans le montage et la commercialisation des cylindrées de 50 Cm3 à 125 Cm3. Elles vivent dans un environnement concurrentiel et sont confrontées à des problèmes économiques et techniques. La concurrence entre ces entreprises repose sur la marque utilisée, le prix et la qualité des engins, les spots publicitaires, le sponsoring, les boutiques de vente et les ventes promotionnelles. La compétition entre ces entreprises a entraîné aussi une baisse du prix des motos, l’apparition d’une diversité d’engins sur le marché, une création d’activités économiques en amont ou en aval du marché des deux-roues à moteur.

 

La commercialisation des motos est si importante que l’Etat a aménagé des espaces spécifiques pour leur écoulement. A Ouagadougou, on évoquera le cas du marché des cycles ou « théâtre populaire ». Dans ce marché on trouve plusieurs types de vélomoteurs en fonction de la cylindrée ou de la qualité. On y trouve aussi des pièces détachées de vélomoteurs et autres pièces de seconde main pour ceux qui ne disposent pas de revenus financiers importants. A côté de ce marché, on retrouve dans la ville plusieurs points de vente, où les clients peuvent acheter les engins de leur choix.

 

Circuit d’écoulement

 

Pour les entreprises de montage, il ne s’agit pas seulement de produire, mais aussi et surtout d’arriver à écouler. Après la production, les motos sont donc acheminées vers les agences commerciales où ils seront stockés. L’écoulement se fait par le biais des grossistes. Ils s’approvisionnent auprès des agences commerciales pour desservir les petits commerçants. Ces petits commerçants ont une réduction à l’achat des engins et écoulent parfois les produits des grossistes et se présentent en ce moment comme des semi grossistes. Ces commerçants sont aussi en relation avec les entreprises de montage.

 

La vente dans les agences commerciales est assurée par des agents commerciaux des différentes entreprises de montage qui commercialisent leurs produits. Entre les différents niveaux d’écoulement il y a une augmentation progressive du prix. Ces augmentations influent sur le prix de vente et permettent aux grossistes et aux petits commerçants d’obtenir de quoi honorer leurs différentes charges. Ces charges sont entre autres les frais de location de magasins qui varient de 25 000 F CFA à 100 000F CFA, le paiement de taxes et des factures, le salaire des ouvriers. La distribution à toutes les échelles prend en compte l’octroi de casques, de contrat d’assurances, des gadgets, etc.

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Ford Kuga :

Le SUV intelligent à la pointe de la technologie
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Ford vient de dévoiler le nouveau Kuga (2019). Le modèle adopte un look plus dynamique, inspiré de la dernière compacte Focus. Des traits plus sportifs qui s'expliquent également par l'allongement de 9 cm (+ 2 cm dédiés à l'empattement) et l'abaissement de 2 cm. Dans l'habitacle, on retrouve l'esprit de la Focus avec notamment l'écran tactile central de 8 pouces ainsi que l'instrumentation digitale de 12,3 pouces.

Sous le capot, ce Kuga (2019) propose un très large choix de motorisations ! Les blocs essence EcoBoost développent 120 chevaux ou 150 chevaux, alors que les diesels EcoBlue revendiquent 120 chevaux, 150 chevaux ou 190 chevaux. Vous pourrez également choisir entre trois offres hybrides : hybride léger, hybride simple et hybride rechargeable.

Le premier, baptisé Kuga EcoBlue Hybrid, embarque le moteur diesel EcoBlue de 150 chevaux et une batterie lithium-ion de 48 V. Le second, Kuga Hybrid, associe un bloc 4 cylindres essence de 2.5 litres et un moteur électrique pour une puissance combinée de 225 chevaux. Enfin, le Kuga Plug-in Hybrid est équipé de la même motorisation que le Kuga Hybrid et d'une batterie lithium-ion de 14,4 kWh. Il permet "une autonomie supérieure à 50 kilomètres en mode 100% électrique".

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Un régulateur de vitesse qui s'adapte automatiquement

Le Régulateur Adaptatif vous permet de sélectionner et de maintenir la vitesse à laquelle vous souhaitez rouler. Le capteur radar intégré maintient automatiquement la distance entre votre véhicule et le véhicule qui vous précède en agissant sur le freinage. Une fois la route dégagée, le système revient à la vitesse préalablement sélectionnée.

 

Hayon mains-libres

Depuis son introduction, le système d’ouverture de hayon mains-libres de Ford connaît un succès retentissant, notamment auprès de ceux qui mènent une vie active. Si vos mains sont prises, et que vous avez votre clé KeyFree sur vous, il vous suffit de passer votre pied sous le bouclier arrière pour que le hayon s’ouvre automatiquement. Vous pouvez également utiliser le bouton de commande à l'intérieur du Kuga, avec la possibilité de limiter sa hauteur d’ouverture, comme dans un parking.

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Economisez du carburant grâce au système Stop & Start

Lorsque vous vous arrêtez à un feu ou lorsque votre voiture tourne au ralenti dans un embouteillage, cette technologie coupe automatiquement le moteur tout en continuant d'alimenter les systèmes essentiels comme les phares, la climatisation, la radio et le système Ford SYNC. Dès que vous êtes prêt à repartir, il vous suffit d'appuyer sur l'embrayage et de passer la première, comme d'habitude, ou de relâcher la pédale de frein sur une automatique, et le système redémarre. Le système Stop & Start est particulièrement efficace pour la conduite en ville, où il peut permettre de réaliser une économie de carburant allant jusqu'à 10 % (cycle urbain).

Assistant de pré-collision avec détection des piétons

Cette technologie analyse la route afin de détecter les véhicules et les piétons qui se trouvent devant vous, et elle vous avertit de leur présence. Si vous ne réagissez pas, le système freine automatiquement, ce qui diminue au minimum la gravité des accidents, et peut également vous aider à les éviter complètement.

 

Un attelage rétractable: disponible lorsque vous en avez besoin

Les attelages sont généralement fixes et, par conséquent, dépassent de manière permanente de l'arrière de votre véhicule. Disponible en option, l’attelage rétractable du nouveau Kuga s’efface facilement derrière le pare-chocs, lorsqu'il n'est pas utilisé.

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